| Sujet: « the snooty-admin. » ; nahm teuk yun. Lun 9 Aoû - 23:30 | |
|
| Nahm Teuk Yun played by son dong woon (beast). it'll be next time Lover;
Âge; 21 ans. Nationalité; Coréenne. Occupation; Serveur au Lovely Coffee et étudiant en psychologie humaine. Signes particuliers; Il souffre de cécité nocturne (une perte de la vision de nuit). Il dort avec les lampes allumées, et évite les endroits dépourvus de lumières.
|
i. tell me your story Le début de sa vie n’est pas un long fleuve tranquille. Tout petit, Teuki naquit dans une famille ou l’harmonie était le maître mot. Un cocon plein de douceur et d’amour. L’argent sans être à profusion ne manquait pas et l’on peut dire que tout se passer bien pour lui. Il n’avait pas à se poser de question tout roulait normalement. Ce bonheur comme tous les bonheurs était fragile et un grain de poussière allait enrayer le cour de cette vie bien réglée. Sa mère par un pur hasard rencontra sur son lieu de travail un homme très riche, très beau. Et malgré sa crainte de faire mal à son mari et à son fils succomba au charme indéniable de son nouvel amant. L’affaire aurait pu rester secrète si par un malencontreux coup du destin un jour Teuki n’avait surpris les deux fautifs enlacés l’un à l’autre dans une position assez facile à interpréter pour le petit garçon. A cet instant, la terre s’écroula pour lui, son enfance se craquela en mille morceaux et sa blessure resta à jamais ouverte dans son cœur de petit garçon. Toute la confiance en les hommes s’écroula et sa relation avec les femmes s’en trouva modifiée pour toujours. Après cette douche froide que sa mère essaya d’apaiser comme elle le pu les relations au seing de la famille changèrent et le père étonné par ces changements commença à se douter de quelque chose. Le malaise grandissant la mère de Teuki avoua sa faute à son mari mais ne s’en attendre aucun reproche de sa part partie avec son riche amant en les laissant seuls et impuissants. A partir de ce jour le père sombra dans une dépression se manifestant par un goût immodéré pour l’alcool, la découverte de la drogue, la folie des jeux d’argents dilapidant sans compter l’argent qu’il possédait sans tenir compte de son fils et de son avenir. Un triste jour de novembre n’en pouvant plus il prit sa carabine et se mis une balle dans la tête laissant Teukie seul et désemparé. Sa mère ayant appris la nouvelle et se sentant en partie responsable essaya d’amadouer son fils pour le ramener chez elle dans sa nouvelle demeure, son nouveau monde de riche. Il accepta, ne se doutant pas de ce qu’il allait endurer. La femme qui l’avait mis au monde, n’était plus la même. Rien à faire, le petit garçon avait grandi et la haine pour sa mère également aussi il choisit de rester dans sa solitude et sa misère. Elle lui avait fait subir tellement de choses, jamais il ne raconterait cela à personne. Était-elle devenue ainsi à cause de son nouveau mari ? Pour pallier son manque d’argent il collectionna les petits boulots mais continua ses études. Pour paraître aisé, son orgueil étant démesuré, il accumulait les heures de travail et malgré sa fatigue et le manque d’heure pour étudier, il réussit son examen. Sa fierté fut grande car jamais il n’accepta le moindre argent de sa mère se faisant un point d’honneur en lui renvoyant les chèques ou autres présents qu’elle lui faisait. Cet argent était sale pour lui, désormais il serait indépendant. Son malheur fit sa force. Il cache sous son apparente froideur un caractère tout à fait différent. En réalité c’est un être plein de malice, il guette sans arrêt la moindre faiblesse des personnes qui l’entourent, il les scrute méthodiquement et minutieusement engrange les informations qu’il pense pouvoir lui servir dans l’immédiat et le futur et sait que tôt ou tard il pourra les utiliser en bien ou en mal et que grâce à cela il aura le dessus. Le mensonge dirige sa vie, il ment à tout va pour se protéger, pour gagner, pour donner une fausse image de lui, surtout pour faire du mal mais quelquefois et c’est très rare pour faire plaisir. Il se demande lui-même s’il préfère en lui le côté obscur qu’il veut faire paraître ou le côté plus sympathique qu’il est réellement au fond de lui. A force de jouer la comédie il ne sait plus très bien faire la différence tout est un peu mélangé en lui, à lui de faire en sorte qu’il ne perde pas la tête. Ne lui demandez rien car si vous ne l’intéressez pas il ne vous regardera même pas et vous écoutera à peine d’un air plein de vanité et de hauteur d’ailleurs vous n’y reviendrez pas. Il s’en fou, la solitude ne l’effraie pas, il préfère rester seul que mal accompagné et bien sûr les autres le comprennent vite et le laisse seul avec ses démons. Le jeune homme ne se mêle pas des affaires des autres, restant dans son coin à observer. Teukie a un esprit vif. Il ne sera jamais un ange. Ne comptez pas la dessus et n’essayez pas de le changer, ce serait peine perdue. Une chose est dure à comprendre malgré tout ces côtés négatifs il a un succès fou auprès des femmes. Que recherchent-elles en lui ? Pensent-elles arriver à percer le mystère de ce garçon peu commun et devenir ainsi l’amour de sa vie. Pourtant si elles savaient… Il n’hésite pas à sortir avec certaines, surtout celles qui le séduisent physiquement mais se lasse très vite et les jettes comme de vieux kleenex avant que celles-ci ne s’en rendent compte. Son cœur n’a jamais vibré, n’a jamais ressenti le moindre sentiment d’amour pour l’une d’elles et il faudra qu’elle soit très particulière et forte celle qui le fera car son cœur est un coffre-fort bien fermé, qui trouvera la clé ?
ii. love love love... Orientation sexuelle; Hétérosexuel. Situation maritale; Célibataire. Opinion(s) sur l'amour; L’amour ? Les histoires à l’eau de rose ? Très peu pour lui. Ces choses là ne sont que pour les faibles d’esprits. Il ne veut pas devenir comme les autres. Ces individus qui pensent sans cesse à l'être aimé, et tenir des propos dénués de sens avec un air si candide. Et puis vu son passé, il ne fait pas vraiment confiance aux femmes, il s’en sert juste pour assouvir ses désirs. Mais pas question de sortir avec très longtemps. Ce ne sont que des jouets et il les utilise à longueur de temps. Expérience(s) amoureuse(s);Depuis le lycée, Teuk Yun a enchainé les conquêtes amoureuses. A cause de son incapacité à aimer, il n'est jamais tombé réellement amoureux. Sa vie sentimentale a été parsemée d'embuches. Les femmes, il les collectionne. Mais pas très longtemps. C’est juste pour le « fun ». Comme un objet inutile. Ce sont des êtres dénués de sens. Des harpies. Des créatures à l’apparence aguicheuse mais à l’intérieur, il n’y a que du faux. Son passé l’a traumatisé. Peut-être qu’il était bien jeune, mais le souvenir, lui, reste. Comment dire "Je t'aime" ?; C’est une question assez difficile vu que Teukii n’a jamais dit ces mots. Et il ne veut pas les prononcer. N’attendez pas qu’il vous le dise ou alors si cela arrive c’est que vous êtes une personne très spéciale à ses yeux. Et puis de toute façon il ne croit pas en l’amour, ni à Cupidon. Pour ou contre le mariage ?; Contre. Le mariage n’est qu’une fête stupide pour faire croire aux gens que le bonheur existe et que l’amour est éternel. Personne n’est à l’abri d’un quelconque divorce ou du décès de l’être cher alors pourquoi se mentir ? Ce n’est pas avec un bout de papier et un anneau que l’on aimera encore plus la personne.
iii. you & your friends Choi Han Kyul; Il éprouve de l'admiration pour son hyung et l'aide du mieux qu'il peut pour gérer le café. Seo Jung In; Une cliente qui venait constamment au Lovely Coffee, et qu’il n’a pas revu depuis un moment..
iv. behind the screen Pseudo; Snow Double-compte?; Uhm Ryeo Ni Fréquence de connexion; 7/7 Code dans le règlement; Autovalidé Test rp;
- Spoiler:
L'avez-vous vu, dans son oeil, cette petite lueur ? Ce mélange troublant de tendresse et de perversité ? Avez-vous vu dans son regard qu'au fond de lui, douceur et obscénité qui l'habitent et se livrent à un duel constant et qu'avec vous, il est incapable de prédire lequel gagnera ? Il la regarde. Il observe sa bouche. Et Na Yung n'arrive pas à savoir s'il avait le plus envie de déposer un léger baiser sur la soie de ses lèvres ou juste la contempler, comme si celle-ci fut une oeuvre d'art, la chose la plus précieuse au monde. Le décor, puisqu'à certain moment, tout s'est figé. Ils ont tous deux cessé de parler pour plonger dans les yeux de l'autre. Il n'y avait plus que les yeux de la jeune femme dans les siens. Cette seconde pendant laquelle ils ont su. L'envie était présente. Entre eux. Invisible mais pourtant si palpable. Na Yung a vu, au fond de ses yeux noirs corbeaux, qu'elle brûlait de le toucher. Quant à lui, à cet instant précis, il a su que cela ne servait plus à rien de résister. Elle avait gagné. Que ces baisers le mettent en émoi. Il regarde son sourire qui promettait de doux baisers sur ses épaules robustes d’homme qu’elle aurait dégagées de ses cheveux soyeux. Un sourire à la sensualité enveloppante. Mais le jeune homme a aussi aimé ce sourire carnassier qui, plus tard, a fendu ses lèvres et qui, tout à coup, faisait de lui un petit agneau sans défense. Agneau qu’elle allait certainement croquer. Cela ne faisait aucun doute. Agneau qui ne saurait résister à cette bouche de loup tant elle semble faite pour le plaisir. Il regardait ses mains et Na Yung les imaginait en coupe sur son torse. Il a été bouleversé quand il a vu celle-ci les posées à son visage. Pour le caresser tendrement. Et ses yeux… à ce moment là, ont fait fondre son cœur. Et quand la pulpe de ses doigts est descendue dans son cou, il ronronnait de bonheur. Elle l’avait à ce sujet taquiné en lui disant que le visage du jeune homme rayonnait d’un air de béatitude tout à fait charmant. Et cette douce chaleur. quand elle a posé ses mains autour de son thorax, pour l’attirer subtilement contre elle. Mais le trouble de notre geobuk fut tout aussi grand quand, dans sa tignasse brune, ses doigts se sont refermés plus fermement pour immobiliser sa tête pendant que celle-ci plaquait un baiser gourmand sur la bouche de Na Yung. De ce fait, c’est peut-être ce genre d’équilibre parfait qui le perdra. Oui, qui le perdra, puisque peu importe ce qu’elles feront, peu importe les gestes qu’elles utiliseront, le désir naitra en lui. Il a toujours eu cette envie. S’abandonner à ce flot qu’il a de plus en plus de mal à endiguer.
« Na Yung… » Il avait fermé les yeux pour goûter pleinement au plaisir que lui procuraient les doigts de la jeune femme qui caressaient toujours ses cheveux. Comme si toute cette félicité risquait de s’échapper par ses yeux ouverts. Il avait peut-être rougit un peu. Néanmoins, à l’intérieur, c’était la tempête. Elle l’a vu, dans ses yeux, dans ses gestes, que la demoiselle n’aurait qu’à demander. Elle a su, à ce moment. Et ses lèvres se sont étirées en un sourire. Sourire de loup qui sait qu’il ne fera qu’une bouchée de Na Yung. Il ouvrit enfin les yeux et profita de son moment d’égarement pour la contempler. Elle était grande. Plus grande que lui. Ce qui était plutôt rare. Un roseau, fin et délicat, et pourtant, il émanait une telle force. Il regardait son corps long et mince. Son visage était d’un ovale parfait. De la porcelaine sur laquelle deux traits noirs avaient été artistiquement tracés. Son visage ainsi abandonné à ses pensées, elle lui offrait en spectacle la douceur de sa peau sur laquelle contrastaient de longs cils noirs. Ceux-ci semblaient l’inviter plus encore à de voluptueuses pensées. Il eu envie, à ce moment là, de poser sa main sur sa joue, de frôler sa bouche. De l’embrasser. Encore. Le jeune homme ferma à nouveau les yeux. Comme si la regarder pouvait le distraire et l’empêcher de goûter pleinement au bonheur de sentir ses mains sur sa peau. Lorsqu’elle eu enfin finit de ses mains, elle se plaça derrière lui. Et s’occupa de son visage. Ses doigts délicats voletaient sur sa peau, tantôt caresses légères, tantôt pressions habiles et relaxantes. « Oppa ! » Et ce mot coula sur ses lèvres comme une lave brûlante. Oui. Oppa. Encore. Qu’elle lui répète de sa voix si mielleuse. Tel un chœur d’ange. Mais, soudain le plaisir fut estompé quand la jeune femme plaça ses mains sur le visage de Na Yung, obligeant celui-ci à ouvrir délicatement les yeux. « Oppa… ton hibou… il nous épie… » Ce ne fut pas un mensonge. Ce satané hibou. Juste devant eux. Rompant le simple plaisir dont le jeune homme avait besoin à l’instant. Misérable animal ! Na Yung le lorgna du regard. Pendant un long moment. Comme si par chance, ce stupide strigidae comprendrait que pour sa survie prochaine, il devait à tout prix les laisser tranquilles. Mais rien à faire. Il restait de marbre. Ne bougeant pas d’un centimètre. Que voulait-il à la fin ? Notre geobuk était sur le point de faire un scandale. Il fit un geste nonchalant de la main qui indiquait à Vil de déguerpir sans plus attendre. « Ne fais pas attention. Reprenons là où nous en étions, ma chère, ma douce. » Etrange. Son sourire avait disparu lui aussi, laissant place à une moue pour la moins affligeante. Comment ? La demoiselle voulait donc que ce hibou reste avec eux ? Quelle idée ! Vraiment, hors de question. Na Yung s’apprêtait à répliquer une de ses phrases convaincantes quand la jeune femme posa, contre toute attente, un doigt sur sa bouche. En plus, elle désirait que Na Yung se taise ? Mais, pour qui se prenait-elle ?! « Oppa… s’il te plaît. Ton hibou m’inquiète. Que voulait-il ? Je pense qu’il a besoin de toi. » Voilà que maintenant, il ne se trouvait plus en compagnie de miss la plus séduisante qui ne faisait qu’une bouchée de lui. Celle-ci avait fichue le camp pour donner place à miss je suis une sainte sauvons les animaux de leur détresse. Baliverne. Na Yung lâcha un soupir. Vraiment, les femmes… Non. Tout ceci était la faute de Vil. Pour sûr, celui-ci devrait s’attendre à de graves représailles de la part de notre ami pour avoir eu le culot de rompre de la sorte son petit goûter. Le capitaine de l’équipe des geobuk lâcha un énième soupir et emprunta la direction de son hibou. Laissant la jeune femme seule, comme elle l’avait souhaité.
Plus le jeune homme avançait, plus il lui semblait que tout ceci n’avait pas de sens logique, et qu’il courait certainement à sa perte. Il marchait hâtivement pour ne pas perdre de vue son fameux Vil. Mais rien à faire. Celui-ci n’en fit qu’à sa tête. Laissant à son tour Na Yung seul, dans l’embarras. Car oui, il l’était. Et la colère montait en lui. L’inquiétude aussi, puisque finalement, Vil lui appartenait depuis si longtemps. Malgré tout, il restait son hibou favori. Mais il reporta son attention sur un phénomène étrange. Dans quel lieu se trouvait-il exactement ? Le décor avait changé. Plus rien ne paraissait comme avant. Les murs, les tableaux, la tapisserie. Même dans l’obscurité, Na Yung remarquait ce changement des plus inhabituel. Surtout qu’il ne semblait pas non plus y avoir la moindre fin. Tournait-il en rond ? Devenait-il aliéné au point de recommencer le même chemin maintes fois ? Et ce hibou qui ne pointait le bout de son nez. Par chance, il entendait quelques bruits sourds. Peut-être n’était-il pas le seul entre ces murs. Notre capitaine des geobuk décida d’utiliser un sort, lumos, contre cette obscurité de plus en plus insondable. De plus, il n’y avait certainement pas que cela, le couloir devenait lui aussi incommensurable que Na Yung commençait à exprimer de la crainte quand à la fin de se périple, ou justement, si aucune fin n’était envisageable. Soudain. Il s’arrêta. « Décidément. Suis-je si réprouvé pour te retrouver constamment sur mon passage ? Maintenant, en plus de me faire perdre un temps précieux chaque jour, tu me dérobes mon hibou. Que vas-tu faire par la suite ? Me chaparder mes affaires ? Ma baguette, peut-être ? » Cet être. Depuis le premier jour il ne lui apportait que des ennuis. Cet être ? Non. Ce psychopathe, oui. Le poursuivant tel un espion. Quel était son but ? Enerver Na Yung au plus haut point ? Oh. Mais pas d’inquiétude à ce sujet. Il le faisait parfaitement. Ou alors, c’était un individu qui éprouvait une attirance quelconque pour notre ami ? Car Chang Lim lui avait bien fait comprendre, un jour, en lui susurrant à l’oreille. Peut-être qu’un jour, je t’offrirai ces chocolats. Et que ce même jour, tu finiras dans mon lit. Et si jamais tu t’échappes, je trouverai un moyen de te suivre à la trace. Je te le promets. Rien que de repenser à cette scène, Na Yung se tortilla légèrement comme si tout n’était que répulsion.
Dernière édition par Nahm Teuk Yun le Mar 17 Aoû - 21:29, édité 2 fois |
|