THE NAME IS Kwon Sa Rang
Messages : 49 Date d'inscription : 19/08/2010 Pseudo : Jiyuu Célébrité de l'avatar : Park Hye Min Âge : 20 ans Occupations : Chroniqueuse Orientation sexuelle : Hétérosexuelle Humeur du moment : Lunatique Lover : Aucun...
| Sujet: Kwon Sa Rang Jeu 19 Aoû - 17:05 | |
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| Kwon Sa Rang. played by Park Hye Min - Pony. love sucks Lover; aucun
Âge; 20 ans Nationalité; Coréenne Occupation; Jeune arrivante chroniqueuse dans un journal de la capitale Signes particuliers; Aucun en particulier, si ce n’est qu’elle a tendance à faire des mimiques avec son visage. Elle est très expressive, ce qui parfois peut se tourner au comique.
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i. tell me your story Ce fut un 13 Avril 1990 que Sa Rang décida de montrer le bout de son nez. Enfant désiré, la jeune demoiselle n’a jamais manqué de rien lors de ses premiers mois. Elle avait deux parents aimants qui avec elle formaient une famille des plus sereines. Son père est un simple employé de banque alors que sa mère est une traductrice de renom dans un musée d’Art en plein Séoul. Tout allait alors pour le mieux dans le meilleur des mondes. Cependant, comme dans toutes les belles histoires il y a un « mais ». Le « mais » de notre fillette se trouva être le divorce. Un simple papier qui pourtant reflète une rupture totale. Sa Rang n’avait alors que quatre ans lorsque ceci est arrivé, alors elle ne s’en souvient pas plus que ça. Aussi loin que remontent ses souvenirs ses parents ont toujours vécu séparément. Elle ne sait pas non plus pourquoi est-ce que le divorce a eu lieu, et elle ne le saura sans doute jamais car il lui hors de question de poser la question.
Une enfance donc un peu mouvementée, mais qui en apparence ne l’a jamais affecté plus que ça. Vivant seule avec sa mère, elle allait chez son père une fois de temps en temps tout de même. Enfant calme, qui ne faisait pas beaucoup parlé d’elle, voilà ce qu’était la petite coréenne. Il lui arrivait bien sûr de crier, pleurer et de se faire réprimander. Elle n’était pas une enfant parfaite tout de même ! Néanmoins elle savait que faire l’idiote en cours n’était pas la meilleure des solutions. Elle se sentait, malgré son jeune âge, être un poids pour sa mère. La femme solitaire, fut très affectée par le départ de son mari. Ainsi elle avait tendance à laisser son enfant seule un peu plus longtemps que la normale. Enfin, n’allez pas entendre par là qu’elle l’abandonnait à son propre sort ! Non, loin de là, mais Sa Rang a très vite arrêté de compter le nombre de fois où sa mère lui a gentiment dit de « jouer toute seule ». La demoiselle sentait alors le besoin immense de s’effacer du monde, de se faire le plus petit possible. Alors se faire remarquer en cours, jouer bruyamment ou encore rire aux éclats étaient bien loin de ses habitudes. Au lieu de cela elle se mit à faire des projets. Elle voulait se faire remarquer de ses parents, mais pas comme les autres enfants turbulents. Elle voulait entendre de leurs voix qu’elle était leur fierté, et qu’elle n’y était pour rien dans leur séparation… Désir inassouvi.
Les années qui suivirent furent un peu dans les mêmes tons. Travailleuse et sérieuse, Sa Rang n’eut aucun mal à gravir les échelons de sa scolarité. Elle avait relativement de bonnes notes, et de bons résultats à ses examens, ainsi elle ne faisait pas de soucis à ses parents. Pourtant il aurait bel et bien fallu qu’ils s’en fassent. Mais voilà, si bonne actrice qu’elle était, Sa Rang durant son adolescence eut une charmante facilité à se créer une image. Elle jouait aux yeux du monde le rôle d’une demoiselle souriante, amicale, rigolote et curieuse. Ses amis de l’époque la classait très facilement dans la catégorie des personnes un peu enfantine avec un caractère lunatique. Quel beau tableau elle nous faisait là. Mais il faut savoir qu’en réalité Sa Rang était – et reste encore – une personne blessée. Elle ne se l’avouera sans doute jamais, mais elle reste le soucis majeur dans le divorce de ses parents. Et si ils avaient eu un fils ? Et si elle n’avait pas été enfant unique ? Et si ceci ou encore cela ? Avec des si on pourrait refaire le monde, et bien dès que la solitude venait lui toucher l’épaule Sa Rang refaisait son monde. Il était si simple de faire penser à sa famille ou à ses amis que le soir elle passait des heures à étudier dans sa chambre alors qu’elle pleurait bien plus qu’elle ne lisait. Dépressive ou déprimée ? Aucun des deux. Sa Rang a juste toujours eu un soucis avec l’amour. Comment est-ce que l’on aime ? Comme fait-on sans avoir de modèle digne de ce nom à suivre ? Voilà son réel soucis. Elle avait des amourettes certes, mais rien d’assez concret. Sa mère restait désespérément seule alors que son père passait plus de temps à s’amuser avec ses amis plutôt que de participer à l’éducation de sa fille. Vous parlez de modèles.
Le temps passa avec ce même petit jeu. Sa Rang s’en contentait largement. Personne ne lui posait de questions sur sa vie, sur ses sentiments ou ses impressions, et c’était bien mieux ainsi. Elle eut ainsi une fin d’adolescence tout ce qu’il y a de plus banal pour une fille de la capitale. Elle s’amusait, riait, sortait et essayait - avec parfois un peu de mal - d’éviter la solitude et l’ennuie qui agissait comme une torpeur à ses yeux. Arrivée à la fin de ses années de lycée, la demoiselle vivait alors un beau rêve. Elle avait devant elle un rêve presque accompli. Non seulement elle fut prise dans son école de journalisme, ce qui l’enchantait au plus haut, mais elle trouva l’amour. Enfin… un début, ce qui est déjà mieux que rien. Réservée à ce sujet, Sa Rang se sentait pourtant bien avec cette nouvelle aventure. Elle ne savait pas pourquoi elle avait confiance, mais elle haussait les épaules et sans réfléchir elle plongea dans la douceur de cette idylle. Erreur qu’elle se jura par la suite de ne jamais reproduire. La jeune étudiante avait tout donné à cet homme, tout ce qu’elle pouvait en tout cas. Elle ne pouvait s’empêcher de sourire à chacun de ses « je t’aime », de rire à chacune de ses blagues et de dire oui à chacune de ses propositions. Mais bien vite elle déchanta, et s’insulta intérieurement d’avoir été aussi naïve. En effet, après deux mois de pur bonheur le jeune homme en question lui annonça simplement que tout était terminé car il avait trouvé mieux ailleurs.
Une claque. Voilà l’effet que ça lui fit. Voilà deux ans que l’histoire s’est passée et depuis Sa Rang reste dans son idée : l’amour c’est fini. Une réaction un peu idiote peut-être. Un peu lâche aussi, mais que voulez-vous ? Se protégeant d’autant plus depuis ce jour, la demoiselle est maintenant ancrée sur son avenir professionnel et sur ses amitiés. Rien de plus, rien de moins. On dit qu’il faut se relever après une chute, mais elle s’en sent littéralement incapable. … Enfin… Affaire à suivre.
ii. love love love... Orientation sexuelle; Hétérosexuelle Situation maritale; Sa Rang est célibataire, et elle compte bien le rester aussi longtemps que possible. Opinion(s) sur l'amour; L’amour n’est pas réellement quelque chose de mauvais selon Sa Rang. Ce n’est pas qu’elle n’aime pas cela. Au contraire, elle sait pertinemment que l’amour peut être un joli sentiment. Néanmoins il est mieux chez les autres que chez elle. Elle n’est pas douée avec l’amour, peut-être même qu’elle en a peur ? – mais si c’est vrai elle ne l’avouera jamais. Enfin, elle a plus tendance à trouver les gens amoureux complètement idiots… naïfs, et même énervants si jamais elle n’est pas d’humeur. Alors de là à tomber amoureuse, non… il ne vaut mieux pas : dénigrer l'amour est bien plus facile. Expérience(s) amoureuse(s); Sa Rang en a eu, oui. Mais elle ne se considère pas comme étant douée dans le domaine. En effet, ses relations n’ont jamais duré bien longtemps d’une part et d’autre part elle n’en a pas eu non plus un nombre incalculable. En plus de ça, elle est extrêmement difficile à combler. Ce n’est pas qu’elle est capricieuse, non pas du tout même, mais disons qu’ayant trop peur de l’avenir elle planifie sa vie avec rigueur. Ainsi la vie de couple n’est pas vraiment faite pour elle. Il suffit que quelque chose n’aille pas comme elle n’avait pensé et rien ne va plus, elle angoisse et décide de briser un début d’histoire florissant au lieu de patienter. Plutôt compliquée, n’est-ce pas ? Elle le sait parfaitement, mais de là à changer… c’est une autre histoire. Donc, tout ça pour dire que les expériences amoureuses ce ne sont pas vraiment ses tasses de thé. Elle n’est pas inconnue au monde amoureux, mais trop de mauvaises expériences l’ont calmé sur son jeu. Depuis son dernier désastre, elle s’est décidée à ne plus tomber amoureuse… Possible ou pas ? Comment dire "Je t'aime" ?; A quoi bon dire « je t’aime » ? Bien trop de gens sur terre prononcent ces mots sans même prendre soin de comprendre chacun des détails qui se cache derrière. Ces personnes le disent mais ne le pensent pas, alors à quoi bon ? Sa Rang préfère encore prouver son amour plutôt que de le parler. Selon elle, il vaut mieux se creuser la tête et trouver quelque chose de plus original qu’un regard et deux mots. Il est vrai que le souffler doucement à l’oreille de son bien-aimé est charmant, mais comment savoir que c’est la vérité et non un mensonge ? Pour ou contre le mariage ?; Plutôt contre. A ses yeux, le mariage n’est qu’une idiotie de plus. Certains diront que c’est une action qui lie les deux êtres aimés, mais pour Sa Rang c’est un acte qui fragilise l’amour. Le temps effrite l’amour, alors de là à se marier pour ensuite divorcer non merci. On peut vivre pleinement sa vie sans mariage, n’est-ce pas ?
iii. you & your friends All alone ♥
iv. behind the screen Pseudo; Jiyuu Double-compte?; Nope~ Fréquence de connexion; 3 à 4/7, mais cela varie. Je peux passer tous les jours sur le forum mais par contre pour RP c'est différent. Code dans le règlement; code okay -teukii Test rp;
- Spoiler:
La tête penchée sur un épais livre ouvert en plein milieu, Hayato regardait les paragraphes sans réellement les lire. Il ferma les yeux, puis les rouvrit en soupirant puis il se saisit de son critérium afin de reprendre quelques notes. Finalement, il se rendit compte qu’il n’était plus bon à rien. Voilà deux heures trente minutes qu’il était assis à ce bureau dans la bibliothèque et là son cerveau ne pouvait plus rien avaler. Le gavage avait été un peu trop lourd pour ses pauvres neurones et s’il continuait sur cette voie il allait finir par tous les griller. De plus, il avait eu la bonne idée de s’installer à côté d’une fenêtre, autant il avait été à l’ombre au début autant maintenant il était en plein soleil… et oui, le soleil ça tourne ! Refermant son énième livre, il se décida d’en réserver un… il continuerais de travailler chez lui. Mais avant, une petite sortie en plein air s’imposait – si toutefois l’air de Tôkyô pouvait recevoir une telle description.
Livre dans un sac bandoulière, le nippon sortait de la grande bibliothèque. Il ne savait pas vraiment où se rendre, et cela lui importait peu. Il allait sans doute faire quelques boutiques, voir du monde lui ferait le plus grand bien même si ce n’était que croiser des centaines d’inconnus. Sentant alors un courant d’air passer dans la rue dans laquelle il se trouvait, le jeune homme leva instinctivement les yeux au ciel. Les nuages couvraient le bleu qui était présent encore il y avait peu de temps. Comme la météo pouvait être lunatique parfois. Néanmoins il ne pensait pas qu’il allait pleuvoir, il l’espérait en tout cas parce que sinon il allait se prendre une sacrée douche car il n’avait pas pris de parapluie… Après réflexion, il n’avait même pas de parapluie. Les minutes passaient, Hayato tournait à droite puis filait à gauche pour finalement rentrer dans une boutique et en ressortir deux secondes plus tard pour retourner dans une autre. L’ennuie commençait à se faire sentir. Il n’avait même pas pensé à prendre ses écouteurs, donc pas de musique non plus. Il jeta un coup d’œil à son cellulaire afin de regarder l’heure. Soit, il allait sûrement rentrer. Il y avait un monde fou dans les ruelles, et il lui vint alors à l’esprit une question : que pouvait bien penser les gens qui venaient de la campagne lorsqu’ils arrivaient pour la première fois de leur vie en pleine capitale nippone ? Lui avait toujours vécu ici, alors les vagues vivantes japonaises et leurs allers et venus il connaissait bien, il y était habitué. Mais en arrivant dans une nouvelle rue il se demanda si tout ce monde pouvait donner un aspect effrayant. Sentant son esprit dériver un peu trop loin et sur un sujet sans importance à ses yeux, il redescendit un peu sur terre. Descente qui se fit plus brutale lorsqu’il sentit un léger coup sur son côté. Lui qui avait la manie d’éviter les gens pour ne pas leur rentrer dedans c’était un peu loupé sur ce coup là.
« Eto… Ano… Gomen… nasai~ »
Le jeune Murasaki baissa alors le regard pour observer l’inconnue qui venait de le percuter, bien que ce dernier mot fut un peu fort pour l’action en elle-même. Son visage était plutôt fermé, et son regard très sombre au début. Hayato n’était pas du genre très agréable quand on l’approchait un peu de trop près. Bien décidé à répondre une réplique froide et cinglante il se retint en voyant le visage de la demoiselle. Son regard s’ouvrit alors. Etrangement elle lui rappelait quelqu’un qu’il connaissait déjà, mais elle dégageait encore autre chose. La voyant s’incliner après son excuse, il abaissa lui-même la tête en un léger mouvement pour finalement se décider à répondre d’une voix plus neutre que voulue.
« Ce n’est rien… »
Suite à ses mots, il reprit sa marche l’air de rien. Il n’y avait rien à faire de plus n’est-ce pas ? Alors qu’il marchait, s’éloignant de la jeune fille, ses pas ralentirent sans qu’il ne s’en rendre réellement compte. Le regard de l’inconnue qu’il avait vaguement capté pendant cet échange d’infimes excuses lui revint brutalement en tête. Ce regard doux, pâle et surtout perdu. Il s’arrêta alors dans sa marche, captant alors quelques désapprobations de quelques personnes alentours car son arrêt brutal les avait fait dévier de leur trajectoire. Hayato se retourna en direction de l’endroit qu’il avait quitté quelques instants auparavant, et il s’étonna de voir que la demoiselle s’y trouvait toujours. Il arqua alors un sourcil, ne comprenant pas vraiment. Il hésita un instant, puis une fraction de seconde plus tard il se retrouvait à marcher sur ses propres pas. Il arriva en quelques enjambées au niveau de la demoiselle, puis il se tenta à reprendre parole.
« Excusez-moi mais… est-ce que vous allez bien ? … Vous semblez quelque peu perdu, ou alors je me trompe ? »
Il préférait encore être sûr que tout allait bien pour elle et rentrer par la suite tranquillement chez lui avec un esprit saint. Et oui, quand on s’appelle Hayato Murasaki et que certaines personnes lui tapent dans l’œil et bien il ne peut repousser sa conscience … c’est humain après tout, n’est-ce pas ? Il avait néanmoins préféré se rattraper sur la fin, car tout le monde sait pertinemment que les apparences sont trompeuses… et que par conséquent lui-même pouvait se tromper sur le cas de la charmante demoiselle. Il ne lui restait qu’à attendre la réponse pour savoir.
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THE NAME IS Kupideu our love should go on.
Messages : 138 Date d'inscription : 04/08/2010
| Sujet: Re: Kwon Sa Rang Jeu 19 Aoû - 23:29 | |
| Félicitations! Te voilà désormais validé! Kupideu t'a désigné comme faisant partie des « Love sucks », alors c'est parti! Tu peux poster partout sur le forum, dans le flood comme dans la partie RP. N'hésite pas à te connecter sur la chatbox pour apprendre à connaître mieux le reste des membres, qui se feront un plaisir de t'intégrer! N'oublie pas non plus de créer ta fiche de liens, parce que ce n'est pas drôle d'être un SAF (sans-ami-fixe)! :p
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THE NAME IS Kwon Sa Rang
Messages : 49 Date d'inscription : 19/08/2010 Pseudo : Jiyuu Célébrité de l'avatar : Park Hye Min Âge : 20 ans Occupations : Chroniqueuse Orientation sexuelle : Hétérosexuelle Humeur du moment : Lunatique Lover : Aucun...
| Sujet: Re: Kwon Sa Rang Ven 20 Aoû - 20:21 | |
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