| Sujet: ; you ain't in the game you just cheerleaders ▬ skye. Lun 16 Aoû - 19:34 | |
|
| Im Skye. played by Kwon BoA. love sucks Lover; Are you kiddin' me ? ~
Âge; 21 ans. Nationalité; coréenne. Occupation; bien qu'elle soit riche à en mourir - enfin ses parents, pas elle - elle a trop de fierté pour leur demander quoi que ce soit; alors - elle ne travaille pas vraiment vu que son frère se charge de leur prendre de l'argent - mais elle travaille à la patinoire alors que; parallèlement, elle étudie la neuroscience. Signes particuliers; Elle est particulière en elle-même; tout ce qui peut venir d'elle peut paraitre tellement ... bizarre ...
|
i. tell me your story
Chapitre i; « Madame, une lettre pour vous. »
Détournant les yeux de son précieux bouquin, madame Nahm regarda autour d’elle, scrutant les alentours comme si quelque chose d’incroyable était sur le point de s’annoncer, quelque chose d’encore jamais vu. Passant rapidement sa langue sur son index afin de l’humidifier, elle corna la page de son livre et se leva en silence; plongeant son regard chocolaté dans celui de sa servante. Sun Mi - c’était son prénom - s’inclina devant sa maîtresse et lui servit sur un plateau d’argent la petite enveloppe mauve qui trônait au milieu de celui-ci. Elle la saisit délicatement entre ses doigts fins, pinçant les lèvres comme si elle appréhendait la nouvelle qui allait être écrite à l’intérieur. Sous le regard inquisiteur de Sun Mi, la maîtresse de maison ne tarda pas à l’ouvrir, extirpant de là, un fin carton noir. Dessus était écris en lettre argentée; « Nahm Ji Eun. » La dite femme se résolut donc à tourner l’invitation - car il s’agissait bel et bien d’une invitation. À quoi ? Encore un de ces bals masqués. De foutues fêtes stupides où l’on était sûr d’y trouver tous les riches des alentours. C’était d’un ennui affligeant, chacun parlant de leur dernières réussites personnelles, ou des exploits de leur enfants. Il fallait que tout tourne autour d’eux, et si cela pouvait amuser cinq minutes, y rester pendant de longues heures en faisant semblant de sourire sincèrement alors qu’en réalité l’on ne souhaite que laisser exploser la grimace que l’on refoule parce que, diable, ces chaussures sont à la pointe de la mode mais peu pratiques; c’était une tout autre affaire. Un peu compliquée, certainement. Pourquoi y aller, donc ? Parce qu’il était extrêmement mal vu de ne pas se rendre dans les soirées mondaines, c’était un peu comme si l’on reniait sa fortune et que l’on souhaitait perdre notre rang social si … Précieux. Ainsi donc, à chaque nouveau carton d’invitation reçu, l’on pouvait être certain que les dames allaient arpenter toutes les rues de Séoul dans le but de trouver ce fameux styliste qui a sortit une toute nouvelle collection il y a quelques heures. Le but ? Être reconnue au milieu de toutes ces pimbêches qui, de toutes évidences, ne valaient pas mieux qu’elles.
Ji Eun soupira avant de plisser les yeux, avait-elle bien lu ? Il ne s’agissait pas de n’importe quel buffet gratuit, il s’agissait ici d’un bal masqué. Parfait pour y passer inaperçu et, elle qui avait tant l’habitude de ne jamais aller à ces fêtes, se laissa tenter. Elle savait que beaucoup parlaient sur elle de par sa négligence envers son statut social, elle savait également combien elle était haïe au milieu de tous ces bourgeois point capable de voir plus loin que le bout de leur nez. Mais cette idée de bal masqué était simplement succulente. Par ennui et par curiosité, elle décida d’y aller, voir ce que l’on pouvait bien raconter sur elle. Voir qui avait bien pu raconter des âneries sur elle au point qu’elle en perde la moitié de sa fortune à engager des avocats ou tout autres homme de main qui, au final, ne lui avaient servi à rien. Il était certain qu’elle fut la plus miséreuse des riches, mais cela ne la dérangeait pas, elle se sentait bien, unique, et pas obligée de garder une couche incalculable de vêtements sur son corps. C’était que c’était peu pratique, tout cela, ce n’était pas facile à enlever rapidement, vous voyez. Parce qu’il se trouvait, justement, que madame Nahm était du genre à aller voir assez souvent à droite à gauche quelques hommes afin de se faire plaisir. Et dire qu’elle n’en voyait que peu serait mentir. Oui, à vrai dire, la pauvre femme était une nymphomane en puissance, ne pouvant s’empêcher de passer près de deux jours sans avoir eu sa « dose ». Dit ainsi, cela ressemblait à de la drogue, mais la pauvre était tellement addict à cela, qu’il n’y aurait aucuns mots plus … Dur, pour exprimer ce qu’elle était. Elle était une catin, mais une catin de luxe. Le genre à vous payer pour que vous la preniez, parce qu’au fond, ce qui était magique avec elle, c’était qu’elle avait beau aller voir un peu partout, dans le fond, vous êtes les gigolos qui vous faites payer pour partager le même lit qu’elle. Vous ne l’aviez pas demandé ? Et alors. Le résultat est le même, dans le fond. Elle savait se trouver dans la position de la dominante et ce, pas que dans des draps. Et aujourd’hui, elle était affublée d’un nouveau défi. Celui de voir si son charme dévastateur - avouons qu’elle n’avait pas un physique ingrat - pouvait également marcher sur tous ces bourgeois qui, au fond, devaient bien se ficher de savoir qui elle était tant qu’ils obtenaient ce qu’ils voulaient - tout autant qu’elle.
Et le jour J était venu. Ce fameux jour en question qui, elle le savait, serait amusant pour elle, et triste pour les autres. Dans le fond, elle voulait tellement se délecter de leur douleur, de les voir s’ennuyer à mourir, de se sentir si mal dans leur peau parce que leur voisine de droite était un peu plus maigre qu’elle. Peu importait. Ji Eun avait opté pour une robe digne d’un conte, avec un masque très grand, très beau, ne laissant entrevoir strictement que ses yeux de biches maquillés avec précaution. Son regard. C’était son atout. Et comme il était mis en avant, autant s’en servir. Cela faisait une bonne demi heure qu’elle voguait d’homme en homme, de discussion en discussion. Elle était la Cendrillon, ils n’avaient d’yeux que pour elle, elle recherchait celui qui la ferait chavirer au premier regard. Et c’est là qu’il fut son apparition. Lui qui avait la chance de ne pas posséder de grands yeux bridés comme tous les autres, ce même qui n’avaient pas des cheveux couleur ébène, mais couleur or. Il rayonnait, et elle se demandait comment elle avait bien pu passer à côté de lui sans le remarquer jusqu’ici. Il souriait, il était entouré d’autres femmes mais ne semblait pas réellement intéressé. Intriguée, la jeune femme s’était doucement approchée, plongeant son regard dans le sien, quand bien même il était à l’autre bout de la pièce. Et, finalement, il parvint à croiser son regard. Plus personne n’existait autour d’eux, ils s’avançaient respectivement l’un de l’autre. Sans un mot, ils se sont pris par la main, se sont dirigés vers la piste de danse et se sont mis à valser. Elle ignorait son prénom, il ignorait le sien; mais leur petite danse dura un bon moment. Commençant doucement au milieu du hall avec toutes ces personnes, et finissant dans l’espèce de sellier au bout du palace. À l’abris des regards indiscrets, à l’abris des oreilles indiscrètes. Cette robe qui lui avait couté si cher avait fini par voler en éclat, et cette danse si douce s’étaient perdue entre gémissements et plaisir. Mais comme toute danse, la fin approche. Chute de l’histoire. Tombée de rideau. Ji Eun était tombée enceinte.
Chapitre ii; Skye. C’est le joli prénom qu’elle avait osé lui donner. Pour quelle raison ? La raison, c’était l’espèce de blondin irresponsable qu’elle avait rencontré lors de ce fameux bal. Craig Daniel qu’il s’appelait. Un espèce d’être humain mi anglais, mi coréen. Qui avait fait un léger détour vers le pays du matin calme pour y trouver ses racines avant de rentrer dans son pays natal. Quelle erreur cela fut, car à présent - ses parents furieux - le voilà qui se retrouvait à devoir marier une femme à moitié riche qui prenait un malin plaisir à réduire en miette la réputation d’homme respectable qu’il s’était pris la peine de se forger. Pourquoi le forcer à se marier à une femme pareille ? Parce qu’il se trouvait que monsieur, tout comme sa chère femme, était le genre d’homme à aller voir à droite à gauche histoire de vérifier que son charme faisait toujours autant des ravages. Et l’erreur qu’il venait de faire avec miss Nahm s’était déjà reproduite auparavant avec une autre. Une autre qui, justement, était décédée si l’on en croyait ses dires. S’il mentait ? Sans l’ombre d’un doute. Mais sa « femme » n’a jamais pu savoir de quoi en retournait cette histoire d’ex décédée. Ce qu’elle savait, en revanche, c’est que le gentil petit bambin qu’elle avait mis au monde était à présent sous sa responsabilité. Ah. Elle qui n’avait jamais pris soin d’elle-même ou d’une quelconque personne lui étant un temps soit peu proche, elle allait devoir s’occuper de deux enfants et d’un mari en plus ? La blague. C’était vraiment drôle. Pourtant elle n’avait pas souvenance d’être le premier avril. Et pourtant … cela fut comme je l’ai écris. À peine enceinte de quelques mois, voilà qu’un petit garçon débarquait dans la demeure de la demoiselle. Si elle en prit soin ? Mais pour quoi faire ? Ne trouviez-vous point cela insultant de se retrouver avec l’enfant d’une autre dans les bras …? Cela faisait près de huit mois, maintenant, et le nouveau né ne possédait toujours pas de prénom. Sa mère se fichait du prénom qu’il allait bien pouvoir avoir, tout autant que son père qui, lui profitait du fait que sa femme soit constamment à la maison pour aller voir ailleurs si elle n’y était pas. Si elle le savait ? Oui. Mais ils s’entendaient bien sur ce sujet-là. Ils étaient un couple forcé, mais dans le fond, ils étaient d’excellents amis. Ils parlaient même de leur coup de la veille devant leur propre enfant, de quoi finir traumatisé, vous ne trouvez pas ? Et ce fut à quelques semaines de l’accouchement qu’elle parvint à en trouver un alors qu’elle regardait ce ciel si gris qui semblait s’effondrer sur elle. Oui, vous l’aurez compris Skye a été nommée ainsi car aux yeux de sa mère, elle était une catastrophe qui avait bouleversé sa vie, et qui l’avait complètement ruinée. Si elle l’avait trouvé elle-même ? Vous la surestimez peut-être un peu trop. La personne qui avait réellement trouvé ce prénom, c’était Jayden et personne d’autre. Il s’était gentiment exclamé « Sky ~ » en pointant du doigt le grand ciel. Avec ce sourire angélique qui faisait tout son charme, convaincu que sa petite sœur ne pouvait être qu’un ange tombé du ciel. Ou du moins, qui allait tomber sous peu et le soutenir un peu. La mère indigne avait complètement adhéré dès que ce prénom s’était échappé des lèvres du chérubin. Certes, Ji Eun aurait pu tomber sur un mari qui passerait son temps à la battre, mais elle ne pouvait se trouver chanceuse dans tout cela non plus. La seule et unique fois où elle avait osé coucher avec un homme sans protection … et bien, je vous assure que ce fut à la fois la première et la dernière. Skye était une gentille fille, comme toutes les enfants, elle pleurait lorsqu’elle avait faim, lorsque sa couche était pleine; elle souriait à la vie, mais elle avait quelque chose de particulier. À commencer par sa peau, incroyablement froide et à la fois douce, c’était une particularité qu’elle possédait au point que les docteurs avaient d’abord pensé que la demoiselle était morte à la naissance. Surpris lorsqu’ils s’étaient rendus compte qu’elle était bel et bien en vie, d’autant plus lorsqu’ils virent qu’elle était une blonde et pas brune comme toutes les autres. Ils disaient que cette fille avait quelque chose de spécial, que sa beauté n’avait d’égal que sa gentillesse. Ils ne savaient pas combien ils étaient dans le faux. Abandonnée, est certainement le mot qui résumera toute sa vie, sa mère ne l’appelait pas, elle claquait des doigts lorsqu’elle voulait que celle-ci vienne la voir. Et quand la pauvre innocente gamine cherchait à savoir pourquoi, la mère avouait sans aucunes honte qu’elle en était venue à oublier le prénom de sa propre fille pour la simple et bonne raison qu’elle était une catastrophe qu’il fallait éviter. Si cela la faisait pleurer ? Absolument pas, elle s’en fichait pas mal. Skye ne l’a jamais appelé « mère » pas plus qu’elle ne l’a jamais considérée comme tel. Pour elle, elle représentait juste une femme de ménage qui prenait un peu trop ses aises à son goût. La gamine n’avait même pas six ans qu’elle tenait déjà tête à sa génitrice. Un incroyable sens de la répartie et du cynisme s’échappait déjà de ses lèvres sans qu’elle ne s’en rendre réellement compte. Pour elle, la vie ne valait rien, l’amour n’était que poussière. Rien ne comptait. Rien. À part une seule personne. Jayden. Ou son cher grand-frère. Elle ne saurait dire s’il faisait cela par pitié, ou par solidarité, mais tous les deux étaient plutôt assez similaires sur certains points. Tous deux n’ayant pas un grand estime pour leur parents respectifs, mais se serrant les coudes dans les moments difficiles comme dans les bons. Même si Skye était la cadette, il lui arrivait de se battre dans la cour de l’école parce que quelqu’un avait fais une mauvaise remarque sur son frère qu’elle avait peu apprécié. Skye ? Parlons un peu de Skye. Parce qu’au fond, qui était-elle dans tout cela ? Ce qu’elle était, oh, je vous conseille de vous accrocher. La demoiselle n’a pas un caractère si complexe, mais une chose est sûre, c’est qu’elle est certainement la dernière des demoiselles que vous souhaiteriez posséder en tant que petite amie. En tant qu’ami tout court, c’est une autre histoire, mais personne n’a encore réussi à gagner sa confiance. Ou si. Il n’y en a qu’une. Qui c’était ? Jayden, évidemment.
Chapitre iii; Elle est blonde, elle est belle, et elle le sait. Cela se lisait dans les yeux de sa mère, quand elle l’a regardait ou la touchait, elle éprouvait une haine farouche pour sa jeune fille. Pourquoi ? Elle n’est pourtant pas une fille que l’on pourrait qualifier comme étant des plus belles de Corée, c’était un fait, mais il se trouvait qu’elle possédait cette peau si blême, si parfaite, sans parler de ses cheveux blonds doré qui illuminaient son visage. Elle ressemblait à un petit ange tombé du ciel, souriante à longueur de temps, et dynamique comme chaque gamine de son âge. Oui, enfin, jusqu’à ses deux ans, même pas. Ayant gardé ses quotidienne démonstrations d’affection à son frère en lui prenant la main et en se baladant avec lui, ou en simplement lui montant sur le dos pour lui faire un câlin; la demoiselle perdit peu à peu ce gout de vivre qu’elle possédait et qui la rendait si enfant. C’était comme si elle avait été forcée à mûrir avant l’âge, à trois ans, il fallait qu’elle prenne conscience des choses : elle n’avait pas de parents. Elle n’avait que son frère aîné et personne d’autre, ainsi donc, elle fut contrainte à se prendre en main toute seule - c’était que Jayden ne pouvait pas tout le temps être sur son dos, non plus. Adoptant un comportement nettement plus calme, posé et surtout réfléchi. Il est extrêmement rare de voir la demoiselle s’embarquer dans quelque chose qu’elle jugera facilement absurde. De toutes évidences, tout ce qui ne vient pas des Im est absurde, pour elle. Et quand elle parle des « Im » c’est évident qu’il s’agit de son frère et d’elle-même, puisqu’il est la seule famille qu’elle possède, si elle y tient ? Oh, oui. Énormément. C’est l’unique personne qu’elle estime plus que sa propre vie. S’il le sait ? Oh non, il doit simplement se douter qu’elle l’apprécie en tant que frère. À vrai dire, Skye n’est jamais allée se risquer à faire de quelconques déclarations enflammées à son oppa, il en a conscience, entre eux deux, il n’y a pas grand-chose à dire, tout se ressent, vous comprenez. Pas besoin de dire « oppa, j’adore ce que tu portes! » ou quelque chose du genre, tout se passe sans commentaires. C’Est-ce qui est génial avec Jayden, elle n’a pas besoin d’ouvrir la bouche pour lui faire comprendre ce qu’elle ressent, ou ce qu’elle veut. Et inversement, d’ailleurs. Cela dit, n’allez pas vous imaginer qu’ils ne communiquent pas oralement, ce serait stupide d’avoir juste à se regarder dans les yeux sans émettre un son, non ? Pas que cela dérangerait la demoiselle, cela dit. De par sa nature extrêmement franche au point de totalement manquer de tact, elle regarde toujours les personnes dans les yeux. Déstabilisant ? Un peu. Disons qu’il est presque impossible de lui mentir sans qu’elle ne s’en rendre compte, à moins que vous soyez expert en la matière s’entend. Elle a un tempérament de feu, aime voir les gens s’incliner face à elle, & ce qu’elle raffole par-dessus tout, c’est quand ils se jettent à ses pieds pour lui demander. Skye est dominante, oh oui, et c’est dans ces seuls moments où vous pourrez la voir sourire. Beauté figée, caractère glacé, il est presque impossible de percevoir ses humeurs en regardant son visage ou la manière dont elle bouge. Puisque de toutes évidences, elle laissera entrevoir rien d’autre que des lèvres qui ne s’étirent jamais, des yeux qui ne se plissent jamais ou encore un front parfaitement lisse et sans rides de par son « inexpression » totale. Légèrement sadique à penchant psychopathe, il n’est pas rare de voir la demoiselle vous attaquer directement au point faible si elle exige quelque chose de vous. Parce que, elle est capable de percevoir les moindres petits moment de faiblesse que vous pouvez laisser échapper. En somme, c’est une fille qui ne faut pas trop chercher, car elle n’hésitera pas l’ombre d’une seconde avant de gentiment coller son poing dans votre figure. Féminine, elle l’est quand on le lui demande de l’être, là n’est pas la question, mais il est plus courant de la voir porter des pantalons que de quelconques jupes ou des vêtements de couleur rose. En somme, il est bon de l’avoir dans son cercle d’amis puisqu’elle sera une alliée de taille, oui, mais l’avoir dans sa ligne de mire est une extrême mauvais chose. Qui sait. Vous savez votre petite sœur qui sort de la primaire tous les jours à seize heures … il pourrait lui arriver quelque chose de grave. Un jour. Un accident, vous savez ? Cela arrive si vite …
ii. love love love... Orientation sexuelle; hétérosexuelle. Situation maritale; célibataire Opinion(s) sur l'amour; Je ne connais pas ce mot, je ne l'ai jamais connu & ne le connaitrait probablement jamais. C'est un fait, je ne supporte pas les films à l'eau de rose, d'ailleurs, la seule chose qui m'a plu dans Titanic c'est quand le bateau coule et que tout le monde tombe, j'ai une sainte horreur du rose, tout ce qui est guimauve, niais, déclarations enflammées ou vieux clichés ... Je condamne tous ceux qui viennent me voir en pleurant parce qu'ils se sont fait largués, et je ris quand quelqu'un vient me confier qu'il est tombé amoureux d'une quelconque personne. C'est nerveux ? Non, absolument pas. C'est mesquin peut-être. Je pense qu'avec ceci mon opinion est assez claire, n'est-il pas ? L'amour c'est ... Inexistant. L'on ne peut prétendre que dans ce monde, une seule est réellement faite pour nous; elles sont toutes faites pour nous, il suffit de trouver dans quoi, et si vous voulez mon avis, la réponse est certainement un lit. Enfin ... Presque. Expérience(s) amoureuse(s); Hier soir ... Avant-hier, avant avnt-hier et ... Oh. Il semblerait que je ne sois pas une personne réellement stable sur ce côté-là. Je n'ai pas grand-chose à ajouter ... Ce n'est qu'un jeu, après tout, pourquoi se prendre la tête avec des sentiments ou ... Quoi ? J'ai dis sentiments ? Ah ... De toutes évidences, la seule chose dont je me rappelle dans mes expériences passées, c'est probablement le corps des personnes à qui je tenais compagnie. Les noms, numéros, adresse ... Très peu pour moi, c'est déjà assez chiant comme ça de veiller à ne pas se mélanger avec le prénom de celui de la nuit dernière, comment voulez-vous que l'on s'y retrouve... Comment dire "Je t'aime" ?; ... en ouvrant sa bouche et en parlant ? ... Vous espériez quoi comme réponse, à vrai dire, ici ? Il y a plusieurs moyens de dire à quelqu'un que l'on l'aime ? Comme ... en plaquant quelqu'un contre le mur et en forçant un baiser ? e.e Non mais vous avez de ces questions. Je n'en sais foutrement rien, et je ne veux pas chercher à le savoir, à quoi bon, cela ne va pas changer ma vie. Pour ou contre le mariage ?; Contre. Par le plus grand des miracles et dans le cas où l'amour existerait d'une quelconque manière, je trouve ça complètement débile de penser que grâce à une petite bague et à des papiers signés, le conjoint ou la conjointe va être le plus fidèle possible, non, vous voyez, cela ne l'empêchera pas d'aller voir ailleurs. Avez vous vraiment besoin d'une bague pour penser que l'autre vous aime ? Non, il suffit simplement que l'autre le fasse ressentir. Cela ne doit pas être si compliqué que cela, dans le fond. Vous ne pensez pas ?
iii. you & your friends ▬ Jeon Kyungsan
▬ Im Jayden {mee è.é ♥} ; big brother, ♥
iv. behind the screen Pseudo; Guess who ~ Double-compte?; waiwai. mais pas maintenant. Fréquence de connexion; Au pire si j'oublie le forum vous venez me botter les fesses sur msn, alors, euh. e.e & YAH. Y'a pas de case commentaire; mais moi j'veux en faire un parce que j'aime bien vous embêter ( pis dans le fond vous aimez que j'vous embête, avouez. ) Euh. Oui. J'voulais être la première membre inscrite, mais j'ai foiré, merci hotmail. è.é Whatever. Que ce forum dure sinon je ... euh. e.e Je vous botte l'arrière-train, vwala. & Pis. Euh. J'vous aime mais vous l'savez déjà, hein. 8D Code dans le règlement; code okay by dongjunnie Test rp;
- Spoiler:
C’était un peu compliqué, pour elle, de suivre tout ce qui se passait. Techniquement, son corps était bel et bien là, immergé d’un quart et elle était bien en train de faire une chose « impensable » avec Jun. Oui, enfin, le début du moins, je veux dire. Mais si l’on parlait de son esprit, de sa raison, tout s’était envolé dès qu’il avait osé répondre à son baiser sans retenue. Très certainement que d’ici une semaine, elle sera d’avantage choquée par le fait qu’il avait accédé à sa « requête » - qu’elle aurait fais passé en simple jeu probablement – plutôt que la requête elle-même. Bizarre ? pas qu’un peu. Mais c’était plus fort que elle, de se dire que, voilà, le type qui avait clamé haut et fort, il y avait de cela quelques secondes auparavant, qu’il la haïssait venait tout juste d’apposer ses lèvres contre les siennes. Oui, de quoi être troublée, et il en fallait peu pour la yongwang qui, finalement, était plutôt naïve dans un sens. Elle ne voyait pas où il voulait en venir en faisant cela, sachant que leur relation n’allait mener à … Rien ? Sérieusement ? Est-ce que la jolie Jung Shin Ah allait pouvoir se laisser traiter de « rien » comme ça par un sale ineo playboy-polygame ou elle ne savait trop quoi encore ? Était-elle assez innocente, gentille … Voir soumise ? Pour qu’elle puisse le laisser la traiter comme une simple conquête de plus parmi toutes celles qu’il avait eu ? D’ailleurs, combien étaient passées par la case « lit de baek jun » ? Rien que d’en imaginer le nombre, elle en frémit. Et, pour une fois, ce n’était pas du aux baisers qu’il lui offrait si généreusement. Alors, quoi, il fallait vraiment qu’elle se dévergonde ainsi – ou qu’il la laisse la dévergonder, laissons-lui ses chevilles enflées – pour qu’elle puisse apercevoir l’ombre d’un seul de ses sourires, ou d’avoir l’impression que, finalement, cela devait arriver, qu’ils y étaient destinés ou quelque chose comme ça. Parce que si Shin Ah l’ignorait, il se trouvait que l’ineo l’appréciait tout de même un minimum. Et merci son corps, hein, parce que sinon elle aurait été « une de plus » et pas l’unique Yongwang qu’elle avait le privilège d’être actuellement, l’unique yongwang qui avait réussi à s’attirer les faveurs de celui qui détestait tous ceux qui avaient un peu de joie de vivre en eux. Ouais, les noirs & or, en somme. Mais était-elle vraiment la seule ? Laissez la croire, cela lui permettait de se valoriser un tout petit peu, elle qui se sentait si … Indésirable ? Oui, c’était le bon mot. Et pas indésirable dans le sens où sa petite personne n’émettait aucuns appels au viol parce que, franchement, ce n’était pas tous les jours que l’on pouvait croiser une sorcière d’akiwa avec un corps pareil, peut-être même bien que les sang-purs antis moldus pouvaient la jalouser – histoire d’avoir une raison de plus de le faire. Et c’était bien pour cette raison qu’elle se sentait indésirable, finalement, mis à part son physique, qu’est ce qui plaisait en elle ? Elle n’en savait foutrement rien, et avait envie de le savoir, mais pas maintenant, parce que, maintenant, sa tête, elle ne l’avait plus, elle l’avait perdue, oui. Complètement. Ce serait assez … Facile ? De dire qu’il ne lui fallait pas grand-chose à la petite pour perdre la tête, mais voilà, il se trouvait qu’il était un peu son talon d’Achille. Et par il, il était évident que je parlais de Jun. Oui, Baek Jun. Ce type des ineos qui avait été blonds à une certaine époque, la même que celle qui avait poussé Shin Ah à aller vers lui, genre « on est copains de cheveuuuux » yeah, and maybe more. Ce serait mentir que d’affirmer que ce type là n’avait rien pour plaire, premièrement c’était purement physique, juste parce qu’il était mignon, qu’elle se faisait chier et qu’elle avait envie que quelqu’un d’autre s’ennuie avec elle. C’était tombé sur lui comme cela aurait très bien pu arriver à un autre, suffisait simplement qu’il arbore une tête de champion olympique dans la catégorie blasé et qu’il soit seul. Leur similitude niveau couleur capillaire n’avait été qu’un prétexte pour engager la conversation. Conversation ? Oui, enfin, monologue, je veux dire. Et, finalement, c’était devenu quotidien. Venir le voir, l’exaspérer en quelques sortes, et lui dire des choses qu’elle savait pertinemment qu’il allait ne pas apprécier. C’était devenu un mode de vie qu’elle aimait particulièrement, cela lui évitait des phases d’ennui mortel durant une soirée ou une journée. Et sans qu’elle ne s’en rendre compte, elle s’était progressivement attachée à lui, tout doucement, au point de ne plus imaginer passer une journée sans voir sa frimousse de narcissique orgueilleux qu’il était et qu’il serait probablement jusqu’à la fin de sa vie. Ce qu’elle aimait ? Pas besoin de faire un listing sinon on y était encore le lendemain, mais en définitive, il n’y avait pas grand-chose qu’elle parvenait à détester, même quand il la repoussait, même quand il voulait qu’elle meurt. Aucunes de ses actions n’étaient capable de faire changer d’avis Shin Ah sur sa manière de voir Baek Jun. Celui qui avait plutôt une sale réputation, elle le savait, elle n’était pas sourde, difficile de ne pas entendre ce qui se disait sur lui, mais elle n’y croyait pas. Parce qu’elle n’avait pas envie d’y croire, parce qu’elle ne voulait pas, et à la fois parce qu’elle ne pouvait pas se permettre d’y croire. Oui, elle ne pouvait pas se permettre de penser une seule seconde que ces rumeurs étaient vraies, et elle les niait toutes en bloc, refusant clairement la triste vérité qui se présentait à elle. Triste ? Oui, enfin, ce n’était pas comme si elle s’était directement sentie visée en premier, la petite. Cela lui passait au dessus, elle n’était pas impliquée, ne voulait pas l’être, et elle se refusait à l’idée que ces rumeurs – fausses, n’est ce pas ? – sur lui puisse autant l’affecter, à un degré qu’elle n’aurait pas pu soupçonner. Et c’est dans une triste soirée coup de blues où tous les malheurs semblaient s’abattre sur elle sans aucune pitié qu’elle réalisa des choses, dont une qui lui déplut au plus haut point : elle était inévitablement amoureuse de lui. Et le pire dans tout cela … Mh, vous ne trouvez pas que c’était assez pire ainsi ? Mais, non, elle n’avait nullement envie de changer sa façon d’agir différemment avec lui, déjà parce qu’il allait le remarquer immédiatement et qu’elle n’avait pas envie qu’il se paie sa tête, déjà qu’elle ne se trouvait pas très … hum, comment dire ? Maligne, oui, elle ne se trouvait pas maline, disons cela ainsi. Et si certains doutaient encore de la déficience mentale dont pouvait faire preuve les blondes – pas toutes cependant – elle, elle avait eu confirmation il y a peu de temps. En jouant avec le feu. Chose qui était assez ironique quand on savait que les couleurs de la maison de Jun étaient le rouge. Rouge. Rouge sang comme pour rappeler le pauvre petit cœur meurtri de la demoiselle, rouge passion comme pour rappeler ses sentiments, et enfin le rouge d’une flamme. Flamme qui pouvait à la fois évoquer la passion et la douleur parce que, oui, quand on joue avec le feu, c’est que l’on prend des risques en s’opposant à quelqu’un de potentiellement plus fort que soi et, parfaitement, j’étais en train de dire que la petite Shin Ah avait beau posséder un tempérament plutôt … Franc et difficilement démontable, à côté de Jun, elle paraissait tellement … Petite. Presque chétive. Et c’était quelque chose qu’elle n’aimait pas. Changer. Pour quelqu’un qui n’en valait finalement pas la peine, il se foutait de tout – elle incluse – pourquoi irait-elle se risquer à changer pour lui si c’était pour finalement finir sur la touche ? Non, elle n’y voyait aucuns avantages. Pas plus que de le fréquenter, lui, de lui parler, de se permettre de le toucher en ignorant de manière impressionnante et incroyable les différentes sensations qui s’offraient à elle. Elle était accro, totalement, et ce qui était drôle, c’est que lui pas. Et qu’il préférait aller voir une certaine miss Ok … Et d’autres. Enfin bon, était-ce vraiment le moment de se prendre la tête, là, de suite, alors que, pour une fois, ils étaient seuls au monde – ou presque – et qu’elle l’avait pour lui ? Non. De toutes façons, ce n’était pas comme si c’était grave, il y avait toujours Ryuji dans son cœur, oui, elle était amoureuse aussi, et elle avait compris que deux hommes pour un même cœur c’était beaucoup trop pour elle. Alors elle s’était dis qu’elle allait laisser sa raison de côté, et qu’elle allait se laisser aller. Peut-être qu’après ceci, l’attraction qu’elle ressentait pour l’ineo s’évanouira. Qui sait. Tout était peut-être une question d’envie. Envie ? Rien que ça ? Alors, pourquoi la même pénible et horrible phrase tournait dans sa tête en boucle comme un vieux disque rayé qui ne sait rien faire d’autres que buguer sur la même phrase ; et manque de bol, c’est toujours la plus touchante, la plus poignante, celle qui nous fait souvent réfléchir, celle qui nous donne une grande claque, qui nous fais ouvrir les yeux, qui fait mal et que, paradoxalement, on arrive pas à faire grand-chose pour s’en débarrasser. Manque de volonté ? Ou peut-être un petit côté maso, qui sait.
“And I make a promise again that I’ll erase you today I can’t do it, it’s like a habit, I can’t do it like I thought I could I can’t live, I can’t live, my heart is filled with love pain”
Il lui donnait ce qu’elle attendait, peut-être un peu trop rapidement, peut-être un peu trop facilement, mais elle ne s’en souciait pas vraiment. C’était la première fois que cela lui arrivait ; qu’elle ne voulait pas parler en présence du jeune homme. Pour la première fois, elle voulait qu’ils ne se disent rien, et qu’ils soient capables de communiquer autrement qu’en se hurlant dessus comme des chiffonniers, et lui qui était si … Inexpressif ? Elle le trouvait particulièrement explicite aussi. La blonde se trouvait même stupide d’en venir à penser cela, dans un moment pareil, elle aurait vraiment cru qu’il reste aussi stoïque et je m’en foutiste que cela ? Ouais. Vraiment. Mais il était visiblement l’opposé de ce qu’il était réellement. Inévitablement, l’idée qu’il devait avoir fait la même chose à d’autres filles qu’elle lui traversa l’esprit, et elle renia le long frisson qui prit subitement possession de son échine, comme si elle n’en « subissait » pas assez ainsi. Chaque touchers, chaque baisers avait le don particulier de lui faire ressentir des choses qu’elle n’avait jamais ressentit jusqu’ici. Enfin, si, évidemment, il lui ai arrivé de frémir, mais c’était uniquement parce qu’il y avait un courant d’air dans la pièce et qu’il faisait froid, hein, ceux-ci étaient totalement différents bien que techniquement parlant, c’était les mêmes, mais non, elle persistait, ce que lui faisait ressentir Jun était quelque chose d’unique qu’elle ne voudrait échanger contre rien au monde. Ce qui changeait était très certainement sa fréquence cardiaque, un peu trop accélérée, un peu trop rapide pour la pauvre petite qui avait l’impression d’avoir son organe de vie au bord des lèvres. Lèvres qui n’avaient pas une seule seconde de répit, autant par la volonté du jeune homme que par la sienne ; il fallait que miss Jung profite de chaque instant, car elle imaginait bien que cela allait être à la fois la première et la dernière fois qu’elle allait avoir droit à … Lui. En parlant du petit organe côté gauche dans sa poitrine, celui-ci rata un battement lorsque les mains – visiblement un peu trop expertes peut-être – de l’ineo vinrent doucement, mais sûrement, déboutonner l’uniforme de la demoiselle. Aussi étrange que cela pouvait paraître, elle n’avait pas vraiment pensé une seule seconde qu’il allait pouvoir le faire, certes, elle l’avait fais mais … Elle se voyait un peu trop « inaccessible » dans le regard des autres pour que l’idée lui vienne qu’il allait oser lui défaire son haut. Et pourtant, à ce moment précis et dans ces circonstances, c’était on ne peut plus logique. Logique, oui, sauf que le cerveau – à la base pas très consistant – de Shin Ah s’était émietté dès qu’il avait approfondi d’avantage leur baiser. C’était pour cette raison qu’elle se laissait faire, sinon, quitte à en souffrir, elle l’aurait dégagé … Peut-être, du moins. Mais le problème – en était-ce réellement un ? – était que le monsieur, là, il était habile et savait parfaitement comment faire pour retenir l’attention de la demoiselle ou encore ne pas lui laisser le temps d’en placer une. Pour une fois … Au moins, il avait trouvé le moyen de la faire taire, c’était l’avantage de tout ça qu’il pouvait trouver. Oh oui, doué, il l’était, imitant l’action – désespérée ? Irréfléchie ? – de la demoiselle, il se mit à lui mordiller la lèvre inférieure, avouons-le, autant l’un que l’autre avaient la chance de posséder de magnifiques lèvres pulpeuses qui pouvaient faire tourner la tête de n’importe qui, imaginez donc le résultat lorsqu’elles se rencontraient. Une explosion de … Sensations ? Toutes aussi étranges les unes que les autres du côté de la jeune fille, de son côté à lui, elle n’en savait foutrement rien et, pour la première fois, elle allait être égoïste et ne penser qu’à elle. Il le faisait à tout le monde, n’est-ce pas ? Elle n’était qu’une de plus, pas vrai ? Alors il devait avoir l’habitude et ne plus ressentir grand-chose au final, c’était ce qu’elle pensait. Et c’était stupide, mais c’était une manière comme une autre d’alléger légèrement sa conscience et, je conçois, sa manière d’arranger les choses était spéciale, voir complètement puérile, mais que voulez-vous, elle était désespérée. Et comme si la torture mentale ne suffisait pas assez comme cela, il avait décidé de jouer avec elle et de lui infliger une torture physique en se contentant simplement d’effleurer ses lèvres et de déposer de furtifs baisers sur son cou ; elle du se mordre les lèvres, oui, et plutôt fort même, pour ne pas laisser un long soupir s’échapper de ses lèvres. Seigneur. Que faisait-il, là ? Un nouveau suçon, oui, mais celui-ci n’avait rien à voir avec celui de la demoiselle. Elle avait plutôt misé sur le côté possession, alors que lui préférait le côté … Sensuel ? Largement meilleur si vous voulez le point de vue de la demoiselle qui, là, en revanche fut dans l’obligation de remonter sa main le long du dos de Jun pour parvenir à se propre bouche. Pourquoi faire ? Parce que ses lèvres allaient finir par s’ouvrir si elle continuait à se mordre, et parce qu’elle n’avait pas envie de lui donner encore une satisfaction – et puis il ne voyait pas alors profitons en –, son index vint se coincer horizontalement entre ses canines. Elle se mordait le doigt, oui. Et cela ne suffisait pas. Elle se mit tout de même à gémir, doucement, mais pas trop. Comme par réflexe, alors qu’il avait remonté sa hanche contre la sienne, la jambe de la demoiselle avait suivie, se positionnant au niveau de sa hanche, comme si elle allait enrouler ses deux jambes autour de son bassin à la différence que la seconde n’avait pas encore suivi le mouvement. Enfin, il arrêta son suçon et l’index de la jeune fille put donc se voir libéré sain et sauf … ou presque. Mais il était loin de s’arrêter là le petit, ça non, il continua sur sa lancée, descendant encore plus bas alors que ses mains remontaient son tee-shirt et, ahw, il était le seul qui avait le privilège de pouvoir lui retirer ses habits sans qu’il n’y ai de quelconques gestes brusques de la part de la jeune fille. Il fallait dire, plusieurs avaient déjà tenté avant Jun, mais dès qu’ils se tentaient à la toucher un peu trop, un blocage automatique se faisait dans la tête de la jeune fille, et elle repoussait le jeune homme en s’en allant à toute vitesse. Etrangement, là ce n’était pas le cas. Shin Ah le laissait faire … Et peut-être qu’il n’en faisait pas assez, un de ses défauts principal étant l’impatience ; elle se lassa rapidement des baisers qu’il pouvait lui offrir sur le bas de son ventre, non pas que c’était déplaisant, mais elle voulait ses lèvres et … Visiblement, ils étaient sur la même longueur d’onde aujourd’hui. Ces deux là ne s’entendaient peut-être pas, mais dès qu’il s’agissait du langage corporel, ils étaient exactement sur la même longueur d’onde. Voyez-vous un quelconque paradoxe là-dedans ? Non, normal. Cela arrivait à plusieurs couples, ils s’engueulaient à longueur de temps et se rattrapaient plus tard. A la différence que, là, il ne s’agissait absolument pas d’un couple, encore moins d’amant. Finalement elle était … Quoi ? Qui ? Au juste, à ses yeux. Tant pis, on y pensera plus tard, ce n’était pas possible de se miner le moral maintenant. Leurs langues jouaient et s’entremêlaient avec une douceur sans pareille malgré l’empressement dont faisait preuve Blondie. Cependant, il mit fin à leur baiser trop rapidement au gout de la demoiselle qui garda quelques fractions de secondes de plus les yeux mi-clos, comme si elle l’incitait à revenir s’emparer de ses lèvres une fois de plus. Mais il ne l’entendait pas de cette oreille, préférant murmurer quelque chose qu’elle ne saisit pas immédiatement. Non, qu’elle ne saisit pas tout court, et puis, sérieusement, rien à foutre. Avait-elle l’air d’humeur à la parlotte actuellement ? Définitivement non. Et pourtant, si elle avait entendu, probablement qu’elle l’aurait encore moins été patiente, qui sait. A peine eut-elle le temps d’apercevoir le sourire carrément pervers de l’ex blondin qu’il se rua de nouveau sur ses lèvres, et alors qu’habituellement elle aurait voulu savoir pourquoi il souriait ainsi autant que la phrase précédente, là elle n’avait simplement pas envie, préférant se concentrer sur ses lèvres, si attrayantes, si savoureuses qui allaient rapidement devenir un genre de … Drogue. Sauf qu’elle se voyait mal arriver, et plaquer ses lèvres contre les siennes sans crier gare, oubliant visiblement le fait que lui cela ne devrait pas franchement le déranger. Sauf si sa conquête du moment se trouvait dans les parages. Foutu playboy. Après de longs baisers successifs et plus passionnés les uns que les autres, la demoiselle décida que rester dans l’eau n’était pas très sages – oui, oui, et faire ce qu’ils faisaient l’était, c’était ça ? Ma pauvre blondie, tu perds la tête – et elle se mit en tête de revenir vers le rivage. C’était plus pratique. Relevant son buste en l’approchant d’avantage de celui de l’ineo, elle écourta leurs baisers, empoigna le poignet du plus âgé et, alors qu’elle se relevait, elle l’attira vers elle – de toutes façons il n’allait y avoir aucuns inconvénients, n’est-ce pas ? – le faisant se lever à son tour. Shin Ah restait debout face à lui, nouant ses bras autour de sa nuque, alors qu’elle marchait à reculons vers le rivage. Une fois qu’elle ne sentit plus d’eau dans ses pieds, ou du moins chaussures complètement trempée, elle fit volte-face, l’obligeant lui aussi à se tourner. Cette fois-ci, ce fut lui dos à la bordure, et, laissant glisser ses mains le long de ses bras afin d’attraper ses poignets, elle l’obligea à s’allonger sur l’herbe. Plaquant ses poignets de part et d’autre de sa tête, comme si elle était la dominatrice et lui la pauvre fille soumise. Ah. Elle n’allait pas rester longtemps au dessus, très probablement, mais elle allait en profiter un petit peu quand même. Assise presque à califourchon sur son ventre, ses mains quittèrent les poignets du jeune homme afin de se ... Déshabiller, oui. La demoiselle sentant qu'il allait mettre un certain temps à le faire qu'elle en crevait littéralement d'envie. Ainsi donc, elle quitta le haut de son uniforme et enleva son tee-shirt déjà à moitié remonté sans quitter le regard de l'ineo l'espace d'une seconde. Elle ne savait pas d’où elle tirait son … arrogance ? Mais en tout cas, elle lui était quelque peu reconnaissante, parce que sinon elle aurait fui depuis un moment. Plantant son regard chocolaté dans le sien, elle lui sourit plutôt … timidement, contrastant parfaitement avec tout ce qui avait précédé, avant de l’embrasser de nouveau, à pleine bouche, laissant une de ses mains glisser sur son torse si chaud, si agréable à toucher tandis que la seconde remontait se placer dans la sienne, la serrant doucement alors que, presque désespérément, ses lèvres quittèrent leurs conjointes avant de murmurer un simple ; « … Jun … ». For what ? Nothing. Elle avait juste envie de lui dire tellement de choses, mais rien ne sortait, alors il devrait se contenter d’avoir entendu Shin Ah prononcer son prénom d’une manière qu’il n’aurait probablement jamais pensé entendre sa bouche. Une manière douce, sensuelle, qui pourrait faire craquer n’importe qui. Mais lui comprit ? Elle n’en savait rien, il n’était pas n’importe qui, là était la différence … Cette fois-ci, d’une manière beaucoup plus douce et calme, elle s’empara de ses lèvres. Jung Shin Ah ou comment se trahir en beauté, aucune fille n’agirait ainsi si c’était une histoire passagère, logique, oui, mais peut-être pas pour tout le monde. Sa main préalablement posé sur son torse partit effleurer chaque parcelle de celui-ci, tout doucement. Elle ne saurait dire si cela faisait son effet, car elle était beaucoup trop concentrée sur ses lèvres, et sa langue. Elle ne faisait plus attention à sa main, bien qu’elle avait conscience qu’elle était toujours en mouvement, au point que peut-être elle descendait un peu … trop … bas ? huhu.
Dernière édition par Im Skye le Mar 17 Aoû - 18:45, édité 10 fois |
|