THE NAME IS Kang Ji Na
Messages : 65 Date d'inscription : 23/08/2010 Pseudo : JooJoo Double compte : Bak Na Yung Célébrité de l'avatar : Park Sandara Âge : 18 ans Occupations : Etudiante en économie Orientation sexuelle : Hétéro Humeur du moment : Caline Lover : dans un futur plus ou moins proche Wu Chang My diary : ♫ Se venger de son premier amour
- je vais le faire souffrir éwè
♫ S'acheter un nouveau canapé
- l'ancien est trop vieux c'est décidé, il faut que ca change
♫ Rappeler à son père deux ou trois choses
- A commencer par la passion de mon frérot d'amur. Qu'il se mette rapidement dans l'esprit qu'il est fait pour la danse non pas pour le costume trois pièces.
| Sujet: Kang Ji Na - Terminé Lun 23 Aoû - 20:24 | |
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| Kang Ji Na. played by Park Sandara. love sucks Lover; No Way ~
Âge; 18 ans Nationalité; Coréenne Occupation; Etudiante en économie. Signes particuliers; Elle adore son grand frère qu’elle chouchoute. Elle adore les parc d’attraction et elle vous pardonnera tout ou presque si vous lui offrez une barbe à papa. Ji Na est sociable, elle s’est donc constituée une belle petite troupe d’amis. Elle est claustrophobe, elle paniquera donc si l’ascenseur dans lequel, elle se trouve s’arrête entre deux étages. Fan de mode, elle adore faire les boutiques. Dans sa chambre elle a réalisée une véritable collection de nounours en tout genre.
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i. tell me your story Le début d’une vie débute toujours par une naissance, mais avant de vous la relater, prenons d’abord quelques minutes pour s’attarder sur la famille Kang, l’une de celle dont le nom rappelle tout de suite leur statut de multi millionnaire. Et pour cause, le père de famille avait reprit les affaires familiales à savoir la gestion d’hôtel dans une petite partie de la Corée. Grace à son dévouement et à de nombreuses années de combats acharnés, il a su augmenter son gagne pain de manière exponentiel en construisant et en rachetant d’autre compagnie afin d’agrandir la sienne. Depuis plusieurs années, les hôtels de Monsieur Kang sont réservés à la plus aisée des clientèles à travers le globe. Presque aucun pays n’a su lui résister en commençant par les Etats-Unis en s’implantant dans des villes telles que New York ou encore Los Angeles, puis la France avec la plus belle ville du monde et Cannes, lieu privilégié de la jet-set. Il tenait là entre ses mains un véritable empire qui ne cesserait de l’enrichir, de quoi mettre à l’abri sa petite famille constituée de sa tendre épouse de son petit garçon de deux ans. Madame attendait son deuxième enfant, en l’occurrence une petite fille. Si celle ci espérait accoucher sur sa terre natale en Corée du sud, le père de famille ruina son désir en lui demandant de l’accompagner au Japon pour réaliser quelques emplettes mais surtout signer un contrat primordial. La famille comptait à ses yeux, il n’était donc pas question de s’en séparer. Ainsi, les Kang prirent un avion privé afin de gagner l’île principale. A vrai dire, si Madame Kang se devait de prendre les voies aériennes communes, ils l’auraient refusé au vu de sa grossesse avancée et des risques que comportait un tel voyage. Le vol se passa confortablement mais le soir venu, des contractions insistantes au niveau du ventre de la mère l’averti d’une naissance imminente. Elle n’en était pas à sa première fois, aussi, elle commença les respirations lentes en réclamant son mari afin qu’il appelle un taxi. Ni une ni deux, les bras de son homme la transportèrent jusqu’à la voiture qui parti aussitôt pour les urgences. Les contractions accéléraient leur rythme tout comme les douleurs devenant alors plus vives laissant une jeune femme blanchir mais toutefois heureuse de l’évènement. Aussitôt arrivée à l’hôpital, une infirmière arriva avec un fauteuil roulant pour accueillir Madame Kang et l’amener au plus vite en salle de travail. Seulement trois heures après son arrivée, une petite bouille fit son apparition, criant à plein poumon pour démontrer l’utilité de ses poumons. Son père regardé la petite princesse puis embrassa sa femme qui venait une nouvelle fois, de réaliser un travail fabuleux.
Quelques jours plus tard, l’enfant fut autorisée à rentrer chez elle, en compagnie de toute sa famille. Ses petits yeux fit la connaissance d’une nouvelle forme, son grand frère de deux ans son aîné, tendant ses petits poings vers lui en couinant. Que pouvait bien faire une petite chose joufflue à part manger, hurler et dormir ? Rien, il lui fallait s’épanouir et grandir au rythme des jours qui défilaient. Pas une seule fois cette coréenne n’avait posé les pieds en Corée, voyageant de pays en pays et de villes en villes sans jamais y rester bien longtemps. Une vie sans attache qui commençait à lui peser. Elle avait beau être sociable et sympathisé rapidement avec le monde qui l’entourait, à chaque déménagement, Ji Na jouait les nouvelles arrivantes dans un établissement en face de parfaits inconnus ayant déjà constitué leur groupe d’amis et de connaissances. De plus, la jeune fille refusait de faire plus d’effort pour apprendre à parler couramment leur langue. C’était d’autant plus difficile alors d’engager une discussion quand la barrière de la langue constituait un véritable défi. Heureusement, la jeune fille pouvait compter sur son frère pour l’aider. Ce dit frère, qui, depuis sa naissance, la protégeait avec ferveur du monde extérieur comme un cocon confortable. Son père était rarement présent. Ce vide c’était Jong Woo qui la comblait afin de rendre sa petite sœur heureuse et elle l’était. Mais face à cette protection, la demoiselle, en grandissant, commençait à voir le monde en couleur, conservant son âme d’enfant et osant bouder face à ceux qui lui tenaient tête ou refusaient ses demandes.
L’adolescence n’était pas loin. Alors que des dizaines de camarades l’enviaient pour ses voyages, Ji Na ne rêvait que d’une seule chose, vivre en Corée du Sud. Son rêve fut exaucé l’année de ses quinze ans. Toute la famille Kang rentra au pays, dans leur demeure afin de retrouver un peu de calme et de stabilité nécessaire dans l’équilibre de la jeune fille. Enfin, enfin elle n’avait plus la barrière de la langue, enfin, elle pourrait se créer de véritables amitiés sans craindre de devoir se séparer d’eux. Difficile d’entretenir des dizaines d’amitié à distance alors, au fils du temps, ses anciennes connaissances furent remplacer par de nouvelles. Par ailleurs, une peine de cœur plus importante qu’elle n’osait le faire paraître, la rendit vulnérable durant deux semaines avant de complètement abandonner l’idée d’avoir une relation longue durée. L’amour faisait mal, l’amour l’entraînait dans des profondeurs sombres et sans fin alors pourquoi tous ses camarades espéraient trouver leur moitié ? Etaient ils tous masochistes ? Ou bien fous ? Les individus seuls étaient montrés du doigt comme s’il s’agissait d’une tare. Quant à Ji Na, elle apprit à s’adapter en acceptant les demande formulées à son égard mais en écourtant rapidement la relation. Pas d’attache pas souffrance, là était sa devise mais elle se gardait bien de tout raconter à son grand frère. Certains sujets restaient tabou, s’il venait à apprendre qu’une personne l’avait fait souffrir, il partirait au quart de tour et ne lui laisserait pas une chance de s’expliquer sur son comportement. Elle voulait véritablement s’en occuper elle-même. Pour le reste par contre, la plus jeune de la famille accordait toute confiance à Jong Woo, en lui confiant ses secrets, les bonnes choses de sa journée et surtout en lui redonnant le sourire. En effet, la demoiselle était montée sur ressort, plus énergique qu’une pile, difficile de l’arrêter. Ce petit bout en train espérait l’aider et l’épauler dans sa démarche de devenir danseur. Ses parents ou plutôt son père était totalement contre cette idée. Pourquoi entreprendre une voie sans issue ? Nyuu de quoi je me mêle. Il suffisait de voir à quel point il s’investissait dans sa passion pour comprendre qu’il était fait pour ce milieu, loin de l’image de bureaucrate que son père aimerait lui donner. Ca ne dérangerait pas Ji Na de reprendre les affaires familiales, elle choisit d’ailleurs la filière économique à l’université afin de se rendre utile. Mais comme le dirait son père très conservateur « ce sera à ton futur mari de reprendre les reines et non pas à une femme ». Elle aimait son père mais parfois qu’est ce qu’il pouvait être macho. Quoiqu’il en soit, elle serait toujours là pour son grand frère, qu’elle aimait plus que tout au monde et s’il venait à lui demander son aide, elle n’hésiterait pas une seule seconde à lui donner un coup de main. La famille c’était sacré.
ii. love love love... Orientation sexuelle; Hétéro. Situation maritale; Ji Na est célibataire, libre comme l’air. Opinion(s) sur l'amour; L’amour ca permet d’être accompagné, de vivre des expériences à deux, de réaliser des photos démentielles que l’on peut ajouter sur Facebook puis ensuite détruire une fois la relation terminée. C’est simple l’amour est éphémère mais suffisamment long pour rendre Ji Na heureuse. Elle leur rend bien en étant amusante, adorable et à leur écoute. Un système avec gain réciproque qui au final donne un équilibre dans son existence. Expérience(s) amoureuse(s); Ji Na est encore jeune et pourtant, depuis ses seize ans, la jeune fille aime séduire le sexe opposé. Au début, c’était plutôt un jeu, une manière pour elle de grandir quoiqu’elle conservait son âme d’enfant. Alors niveau rendez-vous elle les a collectionnés durant deux années au point d’être devenue populaire dans son lycée. Mais parmi ses relations les plus marquantes, elle peut en compter trois, l’un avec son voisin de pallier qui fut son amie avant de devenir plus que ca. Leur différence flagrante et le fait que la jeune fille restait difficilement en place avec la même personne sur une longue durée, eut raison de leur relation. Par la suite, elle rencontra le bad boy du lycée. Un garçon rebelle et tout ce qu’il y avait de plus séduisant ; Manque de chance son jeu de séduction se retourna contre elle et avant qu’elle ne s’en rende compte, Ji Na se fit plaquer sans prendre de gants. Cruelle réalité que les peines de cœur. Ca faisait si mal, si mal qu’elle en pleura durant trois semaines, qu’elle refusa de parler à qui que ce soit sauf à son frère. Depuis, la jeune fille s’est promise de ne jamais retomber dans le piège. Elle se chargerait de terminer les relations avant même que son copain n’y pense lui-même. Ainsi elle ne souffrirait plus et laisserait les autres expérimenté ce type de souffrance s’ils venaient à l’apprécier un peu trop. Comment dire "Je t'aime" ?; Tu l’approches lorsqu’il se retrouve seul puis tu te penche vers lui pour le regarder droit dans les yeux. Là ton visage change d’expression pour donner une impression de fragilité et pour finir, tu lui dis la phrase fatidique « Je t’aime ». Dans cette atmosphère confinée et devant une fine fleure fragile qui lui tend la main, difficile de ne pas fondre ne ? Pour ou contre le mariage ?; Ni pour ni contre. Les mariages sont si beaux si romantiques, tellement pas pour moi. Pourquoi les empêcher de sceller leur amour par cet acte reconnu ? Chacun ses goûts et je respecte les choix des autres. Je crois que je n’arriverais jamais à me contenter d’un seul prétendant. Et il devra tenir tête à mon grand frère – mon doudou d’amuur, mon modèle *.* - car il est très protecteur envers moi.
iii. you & your friends Jong Woo : Comment dire, Ji Na ferait presque un brother complex. La jeune fille le connaît mieux que personne et surtout mieux que ses conquêtes éwè Il est très protecteur envers elle et ce n’est pas pour lui déplaire, de cette manière, elle reste proche de lui et garde un œil également sur sa manière de vivre. C’est pas le tout de collectionner les cœurs, il ne faudrait pas qu’il abîme le sien.
iv. behind the screen Pseudo; Joojoo Double-compte?; Bak Na Yung je n’ai pas su résister Fréquence de connexion; 5/7 Code dans le règlement; Loverholic Test rp;
- Spoiler:
Une petite tête brune marchait rapidement les bras encombrés d’un sac et d’un portoir de peinture qu’elle utilisait pour poser l’ensemble de son matériel à dessin et également une feuille relativement grande afin de réaliser ses croquis. Seulement au vu de sa petite taille, l’ensemble semblait imposant qu’il la dissimulait aux yeux des autres passants. Enfin, cette drôle de chose attirait l’attention se demandant bien ce qui pouvait se dissimuler derrière temps d’éléments différents. Etait ce sa faute si sa taille était petite ? Elle n’allait tout de même pas demander l’ouverture d’un procès à l’encontre de ses parents pour ça. De toute manière tout ce qui était petit était mignon point. Son matériel tenait par équilibre dans ses deux mains mais sa force diminuait à vu d’œil et celles-ci légèrement humidifiées par l’effort, laissaient s’échapper chaque seconde, quelques centimètres des bien qu’elles levaient. Comble de tout, une sonnerie de portable qui n’était autre que le sien, se fit entendre dans l’air, l’obligeant à déposer sur le sol tout son attirail sans prendre de gants. Les conséquences ne tardèrent pas venir puisque son beau portoir de bois venait de s’écraser sur le sol brisant l’une des parties du support. A ce moment précis, le visage de Na Yung se décomposa, blanchissant et ne sachant quoi dire. Sa main droite tremblante, fouilla dans son sac à la recherche du portable.
« Oui ? »
« Nana, j’ai besoin d’un service. Ton petit frère aurait besoin d’un chauffeur ce soir et ton père et moi ne pouvons pas l’emmener. Tu crois pouvoir te libérer pour lui rendre ce service ? »
« Mais maman tu ne peux pas me demander ca, mon seul jour de repos dans la semaine… Bon ok mais seulement cette fois. »
Ah la la comment résister à une demande pareille. Elle aurait tellement souhaité dire le mot fatidique à savoir « non » afin de profiter d’une soirée qui s’annonçait simple et reposante. Alors pourquoi fallait il qu’une nouvelle péripétie vienne s’ajouter de but en blanc, sans avoir été invitée au préalable ? De plus, telle qu’elle connaissait son frère, celui ci ne tarderait pas à prendre ce chauffeur de dernière minute pour son larbin. Nyuu mais oui, elle aimait son frère … parfois éwè Quoiqu’il en soit, ce revirement de situation l’obligea à modifier l’ensemble de ses plans à commencer par son après midi farniente au soleil qu’elle modifia par un allé direct à la patinoire. Un peu de sport lui ferait le plus grand bien et surtout la libèrerait de sa colère refoulée tant qu’une certaine personne ne s’y trouvait pas. Aussitôt, elle ferma ses paupières, se coupant ainsi du monde extérieur puis prit une profonde inspiration avant de les ouvrir de nouveau. Il était temps de reprendre l’ensemble de son matériel et de déposer le tout dans son nouvel appartement. Depuis quelques temps, Nana choisit le mode de vie la plus simple et la plus économique, une collocation. Toujours entourée par deux jeunes filles pétillantes, la vie semblait moins vide de cette façon, néanmoins, adieu la liberté et la tranquillité. Il fallait faire avec les manies de toutes et surtout se battre pour l’eau chaude éwè Bref, il ne lui fallut qu’une dizaine de minutes par arriver jusqu’au dit immeuble et dix minutes supplémentaires le temps de se changer et échanger deux trois mots avec sa best. Plus de temps à perdre, la jeune fille n’aurait le droit qu’à deux heures rien que pour elle avant de servir d’esclave pour un bad boy sans état d’âme. Ni une ni deux, elle reprit ses clés, son sac de sport comportant ses propres patins et hop en avant pour de nouvelles aventures.
Une fois arrivée à la patinoire, la jeune fille se dirigea promptement au niveau du guichet afin de payer son entrée puis direction les vestiaires afin d’habiller ses chevilles de beaux patins blancs, qu’elle se devait de lacer avec sérieux, sans quoi, une mauvaise chute lui donnerait un accès direct vers l’hôpital et en prime, un joli plâtre affreux et surtout peu confortable. Elle déposa le reste de ses affaires dans un casier réservé avec son ticket puis s’élança vers la glace pour retrouver son milieu naturel. Na Yung, lorsqu’elle était plus jeune, pris des cours de gymnastique. Sa petite taille bien pratique et sa souplesse lui accorda rapidement de bons résultats. Sur la glace, c’était exactement le même système, cependant, conserver l’équilibre s’avérait bien plus difficile que sur la terre ferme sans compter les embûches placées sur son passage à savoir les autres patineurs. Pas la peine de tester de nouveaux essais sur la glace, aujourd’hui, elle était comblée de coréens, petits et grands. Il ne lui restait plus qu’à se fondre dans la masse et suivre le courant. Mais bien vite, une élévation de voix attira son attention. Les pleures ne tardèrent pas à retentir à travers la pièce tel un écho crispant et désolant. Par curiosité, elle choisit de s’approcher de la scène afin d’en comprendre la situation et savoir si elle pouvait donner un coup de main. Aussitôt son champ de vision dégagé, un petit sourire en coin s’afficha sur son visage. Alors comme ca Min Hwan s’improvisait baby-sitter ? Lui qui n’aimait pas les enfants enfin surtout qui ne connaissait pas leur mode d’emploi, elle s’imaginait à quel point il devait être paniqué à l’heure actuelle. Non pas que ca lui fasse plaisir … enfin si x) En réalité, elle voyait en cette situation, un moyen détourné de lui faire payer son manque de mémoire. Comment pouvait il l’avoir oublié, elle, son nom, les six mois qu’ils avaient passés ensemble ? Et même pas un petit souvenir.
Ses bras se croisèrent devant elle, collés contre elle comme un gage de barrière de protection en attendant la suite des évènements et finalement choisi de lui donner un coup de main. Ce ne serait pas à cette allure lente qu’il réussirait à trouver les géniteurs de ce petit garçon un brin maladroit. La jeune fille prit de la vitesse à la recherche de couple légèrement paniqué ne retrouvant pas leur enfant turbulent et voilà que trois couples répondaient à cette description. Aussitôt, Nana glissa dans la direction du premier se demandant bien pourquoi elle l’aidait. Arrivé en face d’eux, elle leur adressa un sourire de réconfort et débuta ses questions, qui, il fallait bien l’avouer, lui en coûtait beaucoup au vu de sa timidité.
« Excusez-moi, est ce que vous auriez perdu de vu un petit garçon ? »
Le couple légèrement surpris, fit non de la tête.
« Nous avons une fille mais nous ne la trouvons pas »
Et radar Nana détecta une chose à capuche rose bonbon se trémoussant devant un distributeur de bonbon. Elle leva alors le bras dans sa direction afin de prévenir le couple qui se précipitèrent vers elle. Et de une. Essaie numéro deux, deux étudiants peut être un peu trop jeune, cherchaient visiblement quelque chose. Effectivement ce n’était pas un enfant mais une écharpe perdue en vol ^^’ Essaie numéro trois, la jeune fille se précipita vers eux quelque peu essoufflé à force de faire des aller et retour sur la glace, tout en slalomant entre les autres patineurs venus passer du bon temps.
« Excu..sez moi. Est-ce que vous cherchez un petit garçon avec une écharpe jaune et un grand blouson bleu marine ? »
« Ouiii où est il ? »
La mère paniquait au point d’accrocher son bras pour obliger la demoiselle à lui répondre. Au lieu de cela, elle se proposa simplement de les conduire vers celui qui surveillait l’enfant et qui serait certainement plus que ravis d’être libéré de ce petit monstre. Mais une fois fait, pas question de rester près de lui, elle continuerait ses rondes sur la glace pour se libérer l’esprit des pressions extérieures. Elle patina quelques minutes avant d’arrêter Min Hwan en posant sa main sur son épaule. Ce geste dura seulement quelques secondes puisqu’elle se tourna aussitôt vers les parents qui semblait plus que ravi de reprendre leur rôle auprès de petit bonhomme.
Dernière édition par Kang Ji Na le Mar 24 Aoû - 22:39, édité 9 fois |
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