Wu Chang. played by lee jun ki. • love sucks • Lover; tout le tableau de chasse o.O ~ Âge; 26 years old ~ Nationalité; Chinois de son père ~ Coréen de sa mère Occupation; responsable et homme d'affaire dans un night club ~ Signes particuliers; il porte des lunettes pour lire et bosser sur un pc, il fume et conduit une Audi TT noir ~

i. tell me your story

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Citation :

« ohana » signifie famille, famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié.

Lilo & Stitch, Lilo à Stitch


Si pour tout le monde c’était aussi simple …


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Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfant … Un bel « Happy End » qui n’est destiné qu’à ces princesses sortant tout droit de l’invention du papa de Mickey ou alors de ces frangins allemand à l’imagination débordante mais pas au monde réel. Loin d’être tout rose dans la vraie vie, c’est en blanc que tout commença.
Wu Fang et Choi Min Ji n’étaient pas destiné à être ensemble et pourtant ce furent bien eux qui se passèrent la bague au doigt rendant sa cérémonie presque vraie par des sourires forcés et un baiser offert du bout des lèvres, bien loin de ceux qu’on voit dans les cinémas. Pourtant ce fut bien de vraies larmes qui coulèrent sur les joues des mères des jeunes époux qui assisté à l’union de leur enfants, bonheur échangé contre un beau pactole. Troqués comme de vulgaires objets de valeur, Min Ji devint Madame Wu, femme du futur dirigeant d’une grande entreprise d’import-export asiatique et Fang épousait l’une des plus belles femmes du pays.
D’apparence, tout était beau et authentique alors que le plus important manquait : l’amour.

Le mariage fut consumé, il en sortit un fils. Chang, voulant dire prospérité, épanouissement ou force, une belle ironie si on regardait au plus profond de la nouvelle famille.
Pour la première fois depuis son union avec un homme qu’elle n’aimait pas, Min Ji obtenait une chose qu’elle avait toujours désiré : un enfant, son enfant. Tout l’amour qu’elle avait gardé en elle, la jeune mère put enfin le déverser sur l’être qu’elle aimait le plus au monde. Son fils fut alors tout pour elle, lui offrant amour, tendresse et douceur. Elle fut la mère parfaite et c’est avec cette image pour la gente féminine que le garçon grandit.

Seulement la perfection n’existe pas et bien que Min Ji aurait pu être parfaite physiquement car oui Wu Fang avait été chanceux vu la beauté de sa femme et celle de son fils mais cette dernière avait un vice caché. Min Ji Wu avait toujours rêvé d’une vraie vie de famille, d’un mari qu’elle aimerait et tout le tralala d’une vie à l’américaine mais elle était bien loin d’Hollywood, ici c’était Beijing et ça n’avait pas la même allure.
Malgré les efforts de l’homme de la maison pour rendre la vie de son épouse agréable, l’amour dont elle avait toujours espérer avoir ne vint jamais, en tout cas dans ses murs. C’est ainsi que la jeune mère fricota avec l’adultère, sans réel complexe vu l’absence de son mari mais en total cachette de la vue de son fils.
Pourtant un positif sur un test de grossesse mit fin à toutes les rumeurs et histoires qui allait et venait dans le grand monde. Vous l’auriez compris, la petite famille allait s’agrandir, mettant fin à la tradition chinoise de l’enfant unique. Min Ji désirait cette enfant et cela depuis fort longtemps.
So Ara Wu vu le jour 4 année suivant la naissance de son grand frère. Ravi, ce dernier partagea ses jouet avec bonheur, s’occupa de sa sœur avec joie et minutie et la protégea mieux que personne. La fillette ressemblait tel à sa mère que Chang déversa toute son intention et douceur sur l’enfant, comme il l’avait exprimé pour sa mère.

Les années passèrent et les enfants grandirent de la même manière que la mésentente et la violence dans le couple que formait ses parents évoluait. Chaque soir était sujet à des disputes, des mots violents et des objets brisés.
Chang avait 11 ans quand il entendu ce vacarme pour la dernière fois. Fang et Min Ji attendaient que les enfants soient couchés pour débuter ce vacarme qui chaque soir les réveillaient. Réunis dans une même chambre, les enfants l’un contre l’autre écoutaient la brutalité qui se déroulait au rez de chaussés …
Une parole trop haute, une main volante et tout fut finit ou alors tout commença.
C’est le lendemain, en rentrant de l’école que Chang vit sa nouvelle vie déboulait comme une furie. La porte de l’appartement entre ouvert, des cris, encore, quotidien. Le garçon ne fit que quelques pas chez lui pour remarquer que quelques chose n’allait pas. Des valises, voila ce qui clochait. Quelqu’un partait en voyage ? Non quelqu’un partait tout court et pas une personne mais deux. Accroupit pour être à sa hauteur, une voix qu’il n’avait pas entendu depuis longtemps, celle d’une mère douce et rassurante qui lui disait qu’elle viendrait le chercher dans peu de temps, qu’elle lui promettait ; et elle s’en alla, le poignet de sa fille dans la main, pressé de quitter ces lieux … à jamais.
Calme, silencieux, Chang fut assez grand pour comprendre en lisant ce courrier posé sur la table que celle qu’il aurait cru être sa sœur, son sang n’était autre qu’un dérivé. Un seul chromosome les rassemblait, l’autre, celui du géniteur était différent. Voyant son vieux père, ridé par le travail, les soucis et la tristesse, il comprit alors que So Ara, enfant qu’il avait cru le sien depuis ces 7 années, n’était guère de lui. A l’un de ses amants ? Sans doute ! Sa mère devait être une catin pour avoir eu un enfant illégitime. Non non non, Chang ne voulait pas en croire un mot, pour lui sa mère resterait celle de son enfant. La douce femme qui lui offrait baiser, tendresse et câlins, rien de plus, rien de moins, il croyait en elle comme à la promesse qu’elle venait de lui faire. Bientôt elle reviendrait le rechercher.

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Citation :

Il y a des blessures qui ne guérissent jamais, quand elles ne vous dévorent pas tout entier.

Le seigneur des anneaux : la communauté de l’anneau


Elle avait mentis, comme jamais elle ne l’avait fait.
Chang Wu aurait pu attendre dix ans, vingt ans sans revoir l’ombre de sa mère. Son père, lui, le compris bien avant son garçon. Délaissé par la femme qu’il avait commencé à aimer, il se laissa tomber, sans essayer de se retenir pour éviter la souffrance. Bas, trop bas pour surmonter tout cela, il perdit tout, à petit feu. Sa force, son honneur, son boulot puis son âme. Il ne lui restait plus rien alors à quoi bon …
Wu Fang fut déclaré mort un 18 février, les médecins légistes élucidèrent un suicide 3h après l’alerte de leur femme de ménage. Chang ne vit rien, il subit.
Disparue, voila ce qu’elle était devenu cette mère si belle et affectueuse, un souvenir. Après la mort de son père c’est chez sa tante que le garçon traversa les jours, les mois et les années.

C’est pendant tout ce temps que le Chang Wu que l’on connaît aujourd’hui se forgea. La haine des femmes, voila ce qui rythmait ces jours pourtant il les respectait, à sa manière. L’autorité féminine ne lui posa aucun problèmes, ses professeurs au féminin furent alors épargné. Ce fut plutôt les femmes à cotés, oui celles qui étaient amoureuse de sa belle gueule, celle qui lui donnait de la tendresse qui devinrent ses victimes.
Elève studieux, coureur de jupon. Gestionnaire exemplaire, chasseur de femmes. Serveur et barman la nuit, dragueur et tombeur le jour.
Autant dire que maintenant les femmes il les connaît, et sous toute les coutures si je peut me permettre. Un tableau de chasse, il pourrait en avoir un mais il n’a pas le temps. Oui mesdemoiselles, désolé mais ce bel apollon mi chinois – mi coréen est un vrai Don Juan. Un pas hors de sa chambre d’hôtel et voila qu’il a déjà oublier votre nom mais ce n’est pas ce qui lui importait c’était bien plus vos jolies petites fesses. Il n’en a que faire de vos sentiments, bon ok il n’est pas insensible non plus mais disons qu’il considère que vous êtes prévenu quand vous vous attirez dans ses draps.
Quoi qu’il arrive c’est un Chang Wu blessé éternellement par une femme que vous avez devant vous mais sachez que sans le savoir de sa bouche, vous ne verrez rien paraître.

ii. love love love...

Orientation sexuelle; libertin ~
Situation maritale; célibataire et c'est mieux comme cela ~
Opinion(s) sur l'amour; oula encore une connerie de l'homme, décidément on est fort dans le domaine. L'amour rend les gens plus faibles et idiots qu'ils ne le sont déjà ~
Expérience(s) amoureuse(s); si je vous les dit toutes, vous ne retiendrais même pas un dixième. Plus besoin d'un dessin maintenant ~
Comment dire "Je t'aime" ?; le dire ne sert pas à grand chose, c'est de le prouver qui est important ~
Pour ou contre le mariage ?; ba si ça peut rapporter de l'argent à l'état hein pourquoi pas ! Surtout quand on sait qu'un mariage sur trois finit un divorce ~

iii. you & your friends

seul & vaut mieux pour vous xD

iv. behind the screen

Pseudo; YOOH, la seule & z'unique ~
Double-compte?; nop, vous verrez mon monsieur vous suffira xD ~
Fréquence de connexion; 4/7, enfin autant que possible
Code dans le règlement; code okay -teukii
Test rp;

Spoiler: